Couleur café…Que j'aime ta c...... (1)
Datte: 25/06/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: RobyMartine, Source: Xstory
... langue serpent qui trouve mon anus et s’y glisse sans façon. Elle est agile longue et pénètre bien plus que lorsque ma femme me gratifie de ce genre de caresse en général pour me préparer à …
Je comprends !
Oui je viens de comprendre comment le roi va me désenvouter !
Il va me prendre par le …
Il enlève sa queue de notre gourmandise. Je vois, les yeux mouillés, son dard s’éloigné, bâton sombre à la fois rugueux et lisse.
La reine renforce son emprise sur moi. Bras et jambes m’enveloppent encore un peu plus. A l’oreille la femme me susurre :
— Tu vas voir. Son désenvoutement est magique.
Que faire ? Que dire ? Protester. M’enfuir. Me sauver avec le sexe transformé en bâton. Bâton dont je sens qu’il devient douloureux alors qu’il est bien au chaud dans un océan de douceur et qu’il avance encore un peu plus sous la pression de la femme.
Il est déjà trop tard. Sa royale majesté s’est déjà installée derrière moi, repoussant mes jambes afin que je lui donne de l’espace.
Espace ! Volume ! Pression ! Température ! Dilatation !
Le corps humain est une merveille. Il suffit de l’apprivoiser et d’un peu d’entrainement pour le rendre réceptif. Et ces derniers moi, Nadia avec mon accord total, s’est chargée d’éduquer mon anus, le rendre plus souple, plus réactif a la sollicitation du sexe synthétique que son gode ceinture transforme en bitte pour m’enculer.
Mais le mandrin royal est autrement gros, autrement long. Et pourtant je sens qu’il m’envahit, ...
... progressant sans à-coups, m’ouvrant comme un fruit bien mur, me prenant le cul, m’enculant comme on encule une femme qui se propose. Comme une femme ! Comme une pute ! C’est la réflexion que je me fais alors que l’homme se saisit de ma queue de cheval, luxe que je me permets et qui me donne un air plus jeune, en tout cas qui montre que malgré mon âge je sais rester jeune.
Il me tire. Me faisant cambrer comme on le fait d’une salope que l’on veut soumettre à son désir. Et son désir à lui me remplit alors que le mien avance encore dans le con royal.
Il commence alors sa danse de désenvoutement. En d’autres lieux, sous d’autres cieux, on dirait qu’il sodomise son Mignon, qu’il encule une Fiote en Afrique ou pire une Fiotte en Europe.
La retenue n’est plus de mise. L’hommage royal est au niveau de ce que mon cul découvre. Combien cela peut être différent d’un gode, cette chose chaude, à la fois dure et souple qui me fait du bien et qui d’une certaine façon, poussée après poussée possède aussi la reine.
Il me semble défaillir tellement c’est bon. Je n’ai plus la notion du temps. La seule mesure est à l’aune de ce que je ressens de ma propre verge. Une redécouverte de sensibilité, la lente montée du plaisir au niveau de mon gland qui frotte.
Lorsque l’homme jouit c’est comme un barrage qui se rompt, mieux un geyser de liqueur brulante qui m’envahit et me lessive le cul. Pour un peu j’en sentirais le gout de ce foutre dans ma bouche.
C’est alors que moi aussi je jouis. ...