Couleur café…Que j'aime ta c...... (1)
Datte: 25/06/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: RobyMartine, Source: Xstory
... en invitant Nadia à s’habiller avec élégance mais avec des vêtements qui la mettait en valeur. Une façon de dire :
""Regardez comme ma femme est belle….C’est ma femme…C’est moi qui partage son lit…Ses faveurs…""
Pourtant il y a une grande différence entre "montrer" et savoir que quelqu’un avait "prit".
Le retour a été silencieux. Même les filles ont compris qu’il y avait de la tension.
On est arrivé très tard. Beaucoup de bouchons. Le temps de coucher les filles, de décharger la voiture, il m’a paru trop tard pour engager la conversation. Comme Nadia attendait manifestement ce moment avec un regard implorant par avance mon pardon j’ai dit :
— Il est trop tard. Nous parlerons demain.
Le lendemain je me libère plus tôt que d’habitude. Les filles sont devant un dessin animé. Leur mère Nadia dans notre chambre. Elle est au téléphone. J’ai d’abord pensé qu’elle parlait à ce Ned, son amant, mais non c’était manifestement avec une copine. Elle parle Russe. Souvent elle bavarde avec une amie qui est venue nous voir plusieurs fois. Une amie d’enfance, du temps ou Nadia habitait encore là-bas. Par amour, j’ai appris sa langue maternelle et si je ne parle pas très bien, je le comprends.
J’essaie d’écouter la conversation. Bien entendu je n’entends pas la copine et même La voix de Nadia est décousue. Mais je comprends assez pour me faire une opinion.
Nadia raconte son aventure. Avoue avoir été prise d’une envie irrésistible lorsque ce maitre-nageur lui a fait des ...
... avances. Elle lui a dit textuellement : ""Il était exactement comme lorsque nous fantasmions ensembles. "" Elle reconnait avoir aimé les conditions de leur rencontre. Le coté improvisé, ailleurs que dans le confort d’un chambre, sans même un lit, juste l’intimité d’une cabine de piscine, la dureté d’une banquette de bois, la sauvagerie d’une possession appuyée contre une cloison avec son amant qui la possède par derrière.
Mais je retiens aussi sa culpabilité, son dégout de m’avoir trompé, moi son mari si aimant et attentionné. Mais un mari de plus en plus absent, absorbé par son travail et négligeant son épouse. Une épouse que sa jeunesse rend demandeuse. Pourtant ce mari, Moi, la satisfaisait avant, rentrant chaque soir avec l’envie de son épouse au point de la baiser des heures durant, inventant des jeux coquins, des positions innovantes des possessions curieuses, osant tout, s’offrant lui-même au désir d’une épouse enfilant son mari avec des jouets qu’ils se partageaient.
Heureusement que cette amie est à quelques milliers de kilomètres. J’aurais du mal à croiser son regard alors que Nadia lui avoue qu’elle "encule" son mari.
Nadia insiste encore sur sa culpabilité. Elle redoute ma réaction. Elle m’aime tant qu’elle ne supporterait pas que nous nous séparions. Qu’elle est d’autant plus inquiète que je paraissais dans une colère froide.
Elle pleure au téléphone. Manifestement son amie essaie de la consoler.
Qui suis-je pour la condamner ? Qui ne comprendrait ...