1. Couleur café…Que j'aime ta c...... (1)


    Datte: 25/06/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: RobyMartine, Source: Xstory

    ... pouvoir me libérer en elle. Qui refuserait ? Juste une question :
    
    — Mais après ?
    
    La vieille sourit.
    
    — Il te restera ta virilité et peut être que d’autres femmes voudront gouter elles aussi à ton bâton blanc.
    
    — D’accord.
    
    Alors la reine souriante s’allonge à côté de moi.
    
    — Viens! Dit-elle en me tendant la main.
    
    Je me tourne vers elle. Ses cuisses s’ouvrent. Je me place. Je la surplombe. J’hésite. Elle m’enlace de ses bras.
    
    — Prends-moi.
    
    Je pousse lentement craignant à chaque instant de me réveiller d’un rêve érotique ou que la femme me chasse en se moquant.
    
    Mais son visage parle un autre langage. C’est celui d’une femme que l’on pénètre, que votre dard avance, le gland écartant les chairs délicates, humides, souples pour permettre à la hampe de se lover au plus chaud et au plus profond. Je suis en elle. J’ai l’impression que mon dard est sans fin. Pourtant mes couilles en marquent les limites.
    
    Elle sourit. Ses lèvres écarlates sont des fruits qu’elle m’offre. Ses cuisses m’emprisonnent formant autour de mes hanches un délicieux carcan. Je sens ses talons sur mes fesses.
    
    Son accent est délicieux. Son Français parfait. Mariage de deux cultures.
    
    — Baise-moi. Pends-moi.
    
    Le ton suffit. Elle aurait pu me parler en Martien que je comprendrais. Son ventre vient a mon devant. Je sens sa chaleur. Son vagin me masse.
    
    Je commence à la posséder vraiment. Très vite j’abandonne toute retenue. C’est ce qu’elle cherche et ses gémissements en sont la ...
    ... preuve.
    
    Le roi regarde. La vieille aussi. Un instant je me demande comment il va lever l’envoutement. Avant même que la vieille officie en dégageant la bitte royale de ce pantalon bariolé en défaisant deux boutons, j’ai remarqué la bosse. L’homme, roi ou pas bande devant ce genre de spectacle. C’est une belle verge, sombre, le gland très gros d’un rose qui le fait croire fragile. Le mandrin royal est aussitôt saisit par la vieille qui le guide vers ses lèvres.
    
    Mais où va-t-il se nicher ? Il disparait totalement. Il est vrai que ce ne sont pas les dents qui risquent de la blesser. Le roi se saisit de la tête de la vieille, et utilise sa gorge pour se baiser. J’ai l’impression que le dard va si profond que le cou se gonfle à chaque avancée. Mais oui c’est une évidence, la vieille est si décharnée que je peux deviner le gland progresser. C’est monstrueux, excitant, improbable. La queue qui parait si raide garde pourtant assez de souplesse pour suivre ce chemin sinueux.
    
    Mais le roi a une autre idée. Sa bitte encore plus grosse, encore plus longue retrouve le peu de lumière de la pièce et brille de la salive de la vieille. Il se penche vers nous pour l’offrir à sa reine. Elle s’en empare, juste le gland qu’elle suce et lèche comme une glace. Mon visage est si près du sien qu’elle m’invite d’une poussée. C’est chaud, vivant, délicat. C’est la première fois que je goutte à pareille offrande.
    
    Mais derrière moi je sens qu’une autre langue vient se glisser dans ma raie. Une ...
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