1. Tea Time


    Datte: 25/06/2020, Catégories: fh, jardin, init, Humour fantastiqu, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... décharge électrique qui amplifie plus encore son désir. Ses doigts se referment avidement sur la jambe nue, pour mieux l’avoir à lui, la sentir, la posséder. Leurs baisers s’accroissent plus encore.
    
    Sa main remonte imperceptiblement sous la robe, le long d’une cuisse frémissante et fraîche. Ce contact le grise, ce toucher la trouble.
    
    Il tremble de convoitise quand un doigt effleure le tissu fin du slip, une concupiscence tant inassouvie. Un vague remord fuse en lui : trop rapide ! Il n’en a cure. Résolument, il glisse ses doigts sous l’élastique pour mieux caresser sa peau, pour goûter sa douceur, pour en savourer le grain, sa texture.
    
    Puis, délicatement, il s’aventure vers la fesse nichée sous le fin tissu, pour en épouser ensuite le galbe et l’arrondi. Elle se cabre sous la caresse, leurs bouches rivées dans un long baiser sans fin. Il savoure cette victoire, cette sphère délicate et cachée conquise dont il pelote délicieusement la molle fermeté…
    
    Clotilde se sent comme folle, folle de se livrer ainsi, folle d’aimer ça. Une dernière pensée pour son noble statut, sa noblesse ancienne, pour toutes ces traditions qui font obstacle au lâche abandon du corps. Une dernière pensée avant de se laisser sombrer dans un stupre honni mais, ô combien, jouissif !
    
    — Oh oui, prends-moi ! susurre-t-elle, détachant momentanément ses fines lèvres de sa bouche avide.
    — Ma Clotilde ! répond-il, ravi.
    
    Elle enfouit ses doigts dans ses cheveux, replace ses lèvres à présent ...
    ... voraces sur une bouche insatiable tandis qu’il capture une fesse sous sa large main. Alors que leurs langues se mêlent, il s’autorise une ample palpation de l’agréable derrière qui ondule sous son toucher. Elle adore ce contact intime, cette approche à la fois douce et effrontée, mi-gentleman, mi-voyou.
    
    « Oh non, non, non… ». songe-t-elle.
    
    Il s’enhardit plus encore, ses doigts plongeant doucement dans le sillon fessier. Il ose effleurer un petit trou frémissant, s’attarde un peu puis continue plus bas. Il traverse ainsi certains reliefs interdits puis ses doigts frôlent un poil bouclé, le commencement de la fin de ce voyage impromptu. Un peu plus bas, l’orée d’une fente frémissante qu’il découvre humide, prête à l’accueillir. Délicatement, il la caresse, effleurant les chairs tendres et sensibles, s’offrant des incursions dans la grotte mouillée. Elle s’offre puis se rétracte pour mieux s’offrir ensuite. Elle chaloupe sous la caresse, il épouse son rythme. Frissonnant, elle cesse de l’embrasser, manquant d’air pour se nicher dans son cou, léchant du bout de sa langue rosée la ligne menant à la nuque, sous l’oreille qu’elle mordille parfois. Il est aux anges, jamais, il n’aurait espéré une telle participation.
    
    — Oh non, non, non, mon J… Je… Jea… oh ! …an…. non !
    
    Un cri. Une protestation inutile. Elle se cabre sous la caresse insidieuse, il pousse son avantage, elle résiste faiblement, il accentue sa préséance, elle gémit doucement, sa respiration s’entrecoupe, une sorte ...
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