1. Atterrissage caliente à Fuerteventura (3)


    Datte: 24/06/2020, Catégories: Hétéro Auteur: Nostagique44, Source: Xstory

    ... baignés de cyprine et posai mon index sur la rosette plissée de son anus que je commençai à masser de mouvements circulaires. Le précieux liquide dont mon index était enduit servait de lubrifiant. Je poussai un peu et la première phalange disparut. Je ressortis mon doigt pour le faire rejoindre par le majeur et recommençai la même opération. Là encore, ils ne rencontrèrent aucune difficulté pour s’introduire.
    
    — Ouille !…Cuidado, cariño… Tu me fais mal avec tes doigts.
    
    Pendant qu’elle me disait cela, elle ne s’était pas rendu compte que mes deux doigts étaient entrés entièrement et que son anus butait seulement contre mes autres doigts restés repliés vers la paume de ma main.
    
    J’allais et venais lentement dans son côlon. Ça ne devait pas trop lui déplaire puisqu’elle se mit à bouger du bassin pour venir à la rencontre de mes doigts afin qu’ils entrent encore plus profondément en elle. De l’autre main je tenais ma verge à l’entrée de son vagin. Je poussai un peu mon bassin en avant et le gland disparut. Victoria poussa un « Ooooh… Siiiiii ! » d’une voix de mourante. Je poussai plus profondément mon sexe. Sous mes doigts, dans son intestin je sentais ma queue aller et venir dans son vagin. Je ressentais à travers les parois la collerette de mon gland. J’allais et venais lentement, comme pour apprécier le moment présent. Victoria avait enfoui sa tête dans l’oreiller et poussait de petits râles de plus en plus puissants :
    
    —Oh, que siiiii… Vamos… sigue… No te pares, ...
    ... macho mío ! Follame, revantame…(Oh, que oui… Allez… continue… Ne t’arrête pas, mon mâle ! Baise-moi, défonce-moi…)
    
    Je sortis mon sexe de son vagin totalement baigné de cyprine pour le diriger vers la « petite porte » d’où je venais de sortir mes doigts. Je positionnai mon gland sur l’anus en appuyant légèrement pour voir les réactions de ma partenaire.
    
    — Reste comme ça. Ne bouge pas,cariño. Laisse-moi faire…
    
    J’avais mes mains sur ses hanches et je la regardai opérer. Elle passa une main derrière elle entre ses cuisses pour se saisir de ma verge et maintenir le gland appuyé sur son anus, puis de son bassin elle fit un mouvement vers moi. Sous la pression, je vis mon gland s’aplatir un peu contre sa rosette, et comme par enchantement il disparut entièrement dans cet anneau de chair qui venait de se refermer derrière lui en l’emprisonnant d’une douce pression.
    
    — Maintenant vas-y,cariño. Tu peux entrer lentement. Il faut que monculito s’habitue à ta grossecuca. Humm… comme je la sens bien. Elle me remplit le derrière !
    
    Je poussai, sentant ma queue avancer dans ce tuyau de chair, centimètre par centimètre, jusqu’à ce que mon pubis touche ses fesses si accueillantes. Je me sentais comme dans une gaine, enveloppé, enserré, au chaud. Je commençai à me mouvoir. J’eus la sensation que l’antre était formidablement bien lubrifié. Je me souvins de la crème dont elle avait enduit le cylindre avant de se l’introduire dans le côlon.
    
    Victoria soupirait. Ce n’est pas moi qui la ...
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