Atterrissage caliente à Fuerteventura (3)
Datte: 24/06/2020,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Nostagique44, Source: Xstory
... sodomisais mais elle qui se sodomisait toute seule en se servant de ma queue. Elle commentait, me donnait des ordres au fur et à mesure que son plaisir grandissait. Je sentis sa respiration changer de rythme et d’amplitude…
—Por Dios, que buenos ! Qu’elle est bonne, ta queue… Elle me remplit, elle est chaude, elle est grosse ! On dirait la queue deun caballo (un cheval).
Là, elle perdait vraiment les pédales ; je sais que la Nature m’a assez bien doté à ce niveau, mais tout de même, il ne faut pas exagérer !
— Ça va ? demandai-je ; je ne te fais pas mal ? Tu aimes ?
—Oh no… Oh si ! Continue… Je vais prendre mon pied… Continue ! Surtout ne t’arrête pas. Viens à fond, et fais-moi un petit dansel culo…
J’allais et je venais, et parfois je sortais entièrement mon sexe pour le renfoncer d’un grand coup de reins. J’aimais voir mon gland forcer la porte si accueillante et disparaître dans ce corridor à plaisirs ; cela m’excitait. J’accentuai la rapidité de mes mouvements de va-et-vient. Ses fesses claquaient contre mon ventre. Victoria agitait ses hanches, amplifiant le mouvement. D’un seul coup ses jambes plièrent, ne la soutenant plus ; elle se transforma en une poupée de chiffons. Seules mes mains sous ses hanches la maintenaient à genoux. Elle poussa un cri strident ; il me sembla que tout le monde au dehors l’avait entendu.
L’angle de pénétration que faisait ma queue avec ses fesses avait changé ; la sensation de plaisir était différente, plus forte… ...
... Rapidement, après quelques va-et-vient, au moment où je m’enfonçais avec puissance en elle je sentis mon orgasme arriver : j’allais lui faire un petit dans le cul, comme elle me l’avait demandé.
Je déchargeai en longs jets puissants dans son côlon. Elle devait les ressentir car à chaque jaillissement elle poussait un « Siiiiii ! ». C’est fou ce que c’était bon ! Je sodomisais cette jeuneMajorera (femme de Fuerteventura) dont les deux orifices étaient une invitation permanente à la luxure. Combien de jets ? Je ne saurais le dire… mais suffisamment pour me sentir vidé, rassasié, repus, et inutile.
Au bout d’un moment je sortis mon sexe de ses fesses. Il y avait un peu de sang mélangé à mon sperme. Une inquiétude dut se voir sur mon visage auparavant radieux et satisfait, mais Victoria me rassura :
— Ne t’inquiètes pas,mi amor : ta cuca a dû faire éclater quelques hémorroïdes internes. Ce n’est pas grave. Je vais aller me laver pendant que tu te reposes un peu. Viens avec moi ; comme cela je te la laverai moi-même, et ensuite tu pourras t’allonger.
Je ne m’attendais pas à ce que ma bite serve d’instrument chirurgical anti-hémorroïdes ! Vu les circonstances et un peu fatiguée, elle perdit de sa superbe et s’allongea mollement sur l’une de mes cuisses.
— À quelle heure pars-tu ?
— La navette vient me prendre à 17 heures ; il me reste quatre bonnes heures.
Victoria s’était levée du lit. Elle me tendait les mains.
—Ven, mi amor… Pendant que je ferai ma toilette ...