1. Atterrissage caliente à Fuerteventura (3)


    Datte: 24/06/2020, Catégories: Hétéro Auteur: Nostagique44, Source: Xstory

    ... plus élevés ; je n’allais pas tarder à manquer d’oxygène ! Sa tête entre mes mains, je la poussai délicatement en arrière afin qu’elle abandonne sa fellation. Lorsque ma verge sortit de sa bouche elle me regarda, surprise par mon geste, et me demanda :
    
    — Tu n’aimes pas ? Je le fais mal ?
    
    —Pero que no, Mujer ! Au contraire, tu es une championne. Si je te laisse continuer, tu vas me finir dans ta bouche et je ne pourrai plus profiter de toi ni te faire l’amour tout de suite. Tu m’as donné d’autres idées tout à l’heure lorsque je t’ai vue faire avec ce trucen tu culito (dans ton petit cul).
    
    — Tu crois que nous pourrons le faire ? J’ai peur qu’avec ta grossecuca tu me fasses trop mal.
    
    — On va essayer, et si ça te fait trop mal on arrête tout. D’accord ?
    
    — Alors c’est d’accord ; je te fais confiance,mi amor. J’aimerais bien essayer… Je n’en ai jamais eu une aussi grosse à cet endroit.
    
    Elle s’était relevée, m’avait passé ses deux bras derrière la nuque, écrasant ses seins contre ma poitrine ; je sentais combien ses tétons étaient devenus durs. D’un mouvement de bassin j’avais plaqué mon ventre contre le sien. Elle se saisit de mon sexe pour le placer entre ses cuisses après s’être haussée sur le bout des orteils. Je sentais sur mon gland la chaleur de sa vulve. Elle faisait des mouvements de va-et-vient avec son bassin, simulant un coït. Elle mouillait comme une femme-fontaine. Ma verge coulissait facilement entre ses cuisses, frottant contre sa vulve mon gland ...
    ... complètement congestionné. Chaque fois qu’il venait sur son clitoris, je sentais ma partenaire tressaillir.
    
    On était sortis de la salle de bain. Elle enleva le couvre-lit qu’elle rejeta sur le sol et se mit directement à genoux sur le drap en face de moi, les cuisses écartées, les coudes sur le drap et la tête entre les deux mains. Sa vulve était grande ouverte, les grandes lèvres laissant passer le clitoris curieux qui était sorti en catimini de son capuchon. L’entrée de sa grotte d’amour était baignée d’une cyprine qui ressemblait étrangement à de l’opaline par sa couleur et aux fruits de mer par son odeur.
    
    Mon sexe à l’horizontale, je m’approchai de ce lieu de plaisir et de folies. Je pris ma verge dans ma main droite pour la guider vers l’entrée du vagin tandis que je posais la main gauche sur ces fesses qui se présentaient en offrande. Abandonnant ma verge qui commençait à perdre patience, j’introduisis mon index gauche dans ce vagin qui n’attendait qu’à être visité, choyé, malmené jusqu’à demander grâce. Je le rentrai le plus profondément possible. Mon majeur vint le rejoindre afin de lui prêter main forte. Sous mes doigts je ressentais les multiples replis de ce fourreau qui allait m’accueillir dans peu de temps.
    
    Victoria n’avait pas bougé, à part ses cuisses qu’elle avait ouvertes un peu plus et abaissé sa poitrine le plus possible, à toucher le drap. Elle tenait sa tête tournée sur le côté entre ses mains posées à plat sur le lit.
    
    Je sortis mes doigts ...
«12...456...15»