Frère de sang (2)
Datte: 24/06/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Jane Does, Source: Xstory
... donc les apprécier.
— Merci... merci Myriam ! Votre secours m’est précieux... vous voulez bien vous charger de commander un joli bouquet pour Sophie ? Faites-les livrer chez elle, elle aura la surprise en rentrant...
— Bien Monsieur. Ce sera fait... pour notre courrier ? Vous me le dictez...
— Ah oui ! Le courrier... oh, il peut attendre un peu... je vous appellerai un peu plus tard.
Je suis revenue à mon bureau et me suis empressée de téléphoner au fleuriste du coin de la rue. Au moins Gilles ne pourra-t-il plus se rétracter. Ça fait moins de deux heures que j’ai fait ce qu’il m’a demandé lorsque la ligne interne de mon téléphone sonne. Rebelote ! Me voici une fois de plus debout pour rejoindre le bureau du boss. Deux paires de mirettes féminines souriantes me suivent sur le court trajet qui me sépare de la porte de cuir. Je leur fais un signe ressemblant à un soupir et les deux copines se mettent à rigoler franchement.
Un cérémonial identique au premier. À savoir que ma jupe se relève délicatement et que mes fesses viennent se poser lascivement sur l’assise douce. Mais cette fois, j’entrelace mes jambes délibérément, le buste tourné vers un Gilles qui n’en perd pas une miette. Puis je décroise lentement les deux genoux, levant plus que nécessaire celui qui se trouve sur le dessus. Il va me faire une crise d’apoplexie si je n’y prends garde. Je devine une fine sueur qui couvre son front. Et je me réjouis finalement de cette fabuleuse idée d’Hervé.
Il ...
... bafouille tout le long de l’absurde lettre, qui, j’en suis certaine, ne sortira jamais de ce bureau. Il n’en peut plus tellement il est obnubilé par l’ombre de mon pubis, entrevu un quart de seconde. Après quinze minutes d’un calvaire qui a changé de camp, je rejoins mon poste de travail. Maria vient me rejoindre, pour avoir des nouvelles, je présume.
— Eh bien ! On ne peut pas dire qu’il ne t’aime pas, notre Gilles !
— À ce niveau, ce n’est plus de l’amour, mais de la rage, ma pauvre Maria... si tu savais comme il me pompe l’air ce vieux schnock.
— Quel sale type parfois...
— Et j’ai encore un courrier à taper, comme s’il ne pouvait pas les écrire tout seul sur son ordinateur.
— Tu crois qu’il sait seulement comment ça fonctionne, le traitement de texte ?
— Oh ! Il sait bien quand il veut. Mais c’est pour jouer au chat et à la souris... pas sûre non plus que la souris est bien celle qu’il pense... il pourrait bien être refait le vilain rat. Enfin, ne le dis pas à Sophie, mais il s’est senti obligé de lui faire envoyer des fleurs...
— Des fleurs ?
— Oui un énorme bouquet de lys, c’est moi qui aie passé la commande chez « Mimi la Rose », au coin de la rue.
— J’espère que tu lui en as collé pour un max de pognon à ce vieux pingre...
— Ne t’inquiète pas, il va être soigné...
Elle a un sourire en coin... et pendant que nous bavardons, j’en profite pour taper rapidement le courrier si urgent du patron. J’imprime la lettre et une idée me vient.
— Je ...