Frère de sang (2)
Datte: 24/06/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Jane Does, Source: Xstory
... observer. Une chance que nous n’ayons pas été médisantes. Il nous scrute tour à tour et bien entendu, s’attarde sur mes formes. Ces yeux vont de mes cheveux à mes escarpins, lentement, avec un air vicieux. Si les deux autres femmes dans le bureau le remarquent, aucune ne bronche. Sophie pourtant ramène le patron à une juste réalité.
— C’est mon anniversaire Monsieur. Vous voulez un café et un croissant ?
— Ah ! Votre anniversaire ? Ça vous fait combien ?
—... mais...
— Oui ! Oui ! Vous minaudez ! Enfin, c’est bientôt l’heure d’un repos bien mérité... pour vous, après tant d’années de bons et loyaux services...
Il se fiche d’elle ouvertement. Mais il avance tout de même pour prendre une tasse du breuvage noir que son employée vient de lui servir. Et il pose sa grosse patte sur une viennoiserie. Nous ne parlons plus, il nous a coupé le sifflet ce crétin. Sur le bureau, le carré de soie et le baise-en-ville sont bien en évidence. Lui n’a pas de cadeau à offrir à la secrétaire. Mais son regard lubrique ne m’a toujours pas quitté. Et je me sens bouillir... il ne perd rien pour attendre. Je vais vous venger moi, de toutes les humiliations qu’il nous fait subir ce tordu.
Il est reparti dans son bureau et dès que notre pause-café est terminée, il devait nous épier, il déboule dans mon espace de travail.
— J’ai encore une lettre à vous dicter Myriam... vous pouvez venir quelques instants ?
— Bien sûr Monsieur...
La porte se referme sur mon passage ! Il file ...
... vers son siège et moi, vers celui qu’il n’a toujours pas remis en place et qui se trouve décalé d’un bon mètre par rapport au bureau. Toujours la même intention de voir, de savoir sans doute ? Eh bien, mon petit père, tu ne vas pas être déçu de la manœuvre. Je prends bien soin de faire froufrouter ma jupe alors que je me rapproche de la chaise. Puis d’un mouvement nonchalant, mais discret, je soulève légèrement le bas de mon cotillon. Mes fesses atterrissent sur l’assise de velours du siège où je me pose.
Il a suivi, sans trop y croire, l’opération. Il est tout rouge lorsque je le regarde. D’étranges éclats dans ses billes m’indiquent que mon show a fait son petit effet sur le pervers. Sa voix m’arrive dans les oreilles.
— Myriam, j’ai une question à vous poser !
—... Je vous écoute Monsieur.
— Gilles, pas Monsieur ! Nous travaillons ensemble depuis pas mal de temps, il me semble que c’est suffisant pour que nos relations se désacralisent.
— Le Monsieur, c’est pour le respect... entre employée et Patron.
— Je comprends... mais ma question va vous sembler incongrue... connaissez-vous les goûts de Sophie en matière de fleurs ?
— De fleurs, Monsieur ?
— Ben oui... je ne suis pas aussi bien organisé que vous deux, ses collègues, et je voudrais me faire pardonner mon oubli de son anniversaire. Il me semble qu’un bouquet de fleurs s’impose... alors si vous pouviez m’aiguiller ?
— Je crois qu’elle apporte souvent des lys pour orner son bureau... Elle doit ...