1. La maîtresse d'internat


    Datte: 23/06/2020, Catégories: ff, fplusag, jeunes, école, volupté, 69, journal, ecriv_f, Auteur: Patricia, Source: Revebebe

    ... suis loin des tendres baisers de Clémence. À mesure que nos salives se mêlent, une véritable fureur s’empare de nos corps, de nos mains. Mademoiselle Thérèse a inséré une jambe entre mes cuisses, d’une poussée du bassin j’écrase mon sexe contre son genou. Sa langue me fouille avec frénésie, elle gémit doucement. J’ai envie de jouir tout de suite, je laisse les spasmes de mes reins envahir mon ventre… Je sais que je mouille abondamment, j’imagine sur sa chair la trace luisante de mon plaisir. La surveillante lâche ma bouche, se redresse brusquement. Ses yeux fixes me dévisagent, elle mord sa lèvre inférieure…
    
    — J’ai envie de vous… j’ai envie de nous, je veux vous voir jouir… Je veux jouir… Ah ! Patricia… j’ai honte… votre bouche, votre corps, vos seins… vous, oui…
    
    À genoux, une jambe entre mes cuisses, elle prend ses seins entre ses mains, les caresse, les malaxe, les palpe… masses blanches, laiteuses, marbrées de veinules bleutées… Mes mains quittent ses hanches un peu larges. Je saisis sa main et guide ses doigts vers mon ventre. Je voudrais qu’elle me caresse, là, maintenant… tout de suite… Elle me sourit et se retourne, enjambant mon corps. Ses cuisses enserrent mon visage, elle plonge son nez entre mes cuisses. Sa langue s’insinue entre mes lèvres, les déplie, s’attaque avec précision à mon clitoris qu’elle décapuchonne… À quelques centimètres de mon visage, entre les cuisses opalines et un peu molles, le foisonnement exubérant de son pubis. Entre les longs poils ...
    ... blonds, diaphanes, où brillent les perles luisantes de ses sécrétions, je devine les lèvres épaisses, béantes, violines… Mes mains s’emparent des globes pâles de ses fesses, les écartent, dévoilant la raie beige au milieu de laquelle me fixe l’œillet sombre et granité de son anus… Dans la frénésie d’un désir incontrôlable je ne peux m’empêcher de penser que sous mes yeux, là, c’est l’anus de Mademoiselle Thérèse, l’œil cyclopéen… le trou de balle, le trou de balle, le trou de balle… je ne peux m’empêcher de chasser ce mot obsédant qui résonne dans ma tête, j’en ai un peu honte… Non, je n’ai pas honte, je vais jouir, nous allons jouir…
    
    Je sens sa langue descendre entre mes lèvres, caresser le périnée, agacer la périphérie de mon anus. Je plonge, j’enfouis mon visage entre les lobes moites. Les exhalaisons épicées où se mêlent les effluves de sueur et de sécrétions vaginales redoublent mon excitation. L’anneau rétracté de son anus cède sous la pression de ma langue… Cette langue plantée dans l’anus de mademoiselle Thérèse… une forme de sacrilège, d’outrage… La charmante petite Patricia, adorable élève de classe préparatoire, profane vingt ans d’éducation… Par ce geste, cette pénétration, elle se libère… Elle veut jouir sans entrave, passer outre les règles dans une explosion délirante et orgiaque…
    
    Mademoiselle Thérèse râle, ses halètements, prémices de la jouissance qui la submerge, se muent en un ronflement sourd. Mon nez, ma bouche glissent le long des fesses vers le ...
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