La maîtresse d'internat
Datte: 23/06/2020,
Catégories:
ff,
fplusag,
jeunes,
école,
volupté,
69,
journal,
ecriv_f,
Auteur: Patricia, Source: Revebebe
... patience délicate…
… sous la robe d’Hélène j’ai trouvé les jambes d’une reine…
Les paroles de la chanson de Brassens me viennent à l’esprit. Après la rotondité nacrée des genoux apparaît le galbe de ses cuisses. Peau nue et tiède sous mes mains, promesse de caresses, désirs à tâtons entre pudeur et obsédante sensualité. Elle ne porte pas de bas.
Les doigts de la surveillante jouent avec mes mamelons, petites pointes de chair turgescente, presque douloureuses. Elle me parle du "Cantique des Cantiques", lorsque le bien-aimé entre dans le jardin pour y manger des fruits exquis, y recueille sa myrrhe, y mange son miel et boit son vin.
Que tu es belle, ma compagne, que tu es belle… Tes deux seins comme deux faons, jumeaux d’une gazelle paissant parmi les lys.
Mes doigts en écho suivent la courbe de ses mollets, effleurent l’arrondi du genou, glissent vers l’intérieur de ses cuisses, remontent vers l’aine. La jupe forme un bourrelet de tissu gris autour de son ventre. Nous avons imperceptiblement écarté nos cuisses. Elle joue maintenant avec le frisottis des poils de mon ventre. Je découvre avec émotion la culotte blanche, le double fond de coton marqué d’un trait humide un peu plus sombre. Simultanément, nos index descendent le long du sillon humide. Mes lèvres s’ouvrent sous la légère pression de son doigt. Je voudrais qu’elle se déshabille, qu’elle soit nue.
Mademoiselle Thérèse se lève lentement, sa jupe retombe mollement sur ses cuisses. La moue qui marque ...
... mes lèvres la fait sourire. Elle met un doigt sur sa bouche pour m’apaiser. La clef tourne dans la serrure, la lumière du plafonnier s’éteint. Seule la lampe de chevet éclaire la chambre. La surveillante revient vers le lit avec la même lenteur mesurée. Elle se plante à quelques centimètres de mon visage. Ses doigts défont un à un les boutons de son chemisier. Elle en écarte les pans puis le laisse glisser jusqu’au sol. Avec le même calme, elle reprend son déshabillage. Ses mains croisées dans son dos défont l’agrafe du soutien-gorge. Un léger temps d’arrêt, et les bonnets libèrent sa lourde poitrine. À la différence de mes seins de brune, ses aréoles à peine rosées sont quasi invisibles, les mamelons ronds bourgeonnent en leur centre. Elle tourne sa jupe et descend la fermeture éclair dans un crissement métallique. La large culotte de coton blanc qui enserre très haut sa taille rejoint sur la descente de lit le reste de ses vêtements. Malgré son chignon un peu strict, Mademoiselle Thérèse, débarrassée de son uniforme, resplendit de sensualité. Au bas de son ventre nacré et légèrement rebondi, recouvert d’une épaisse et naturelle toison claire, se devine l’amorce saumon des lèvres de son sexe.
J’ai subitement envie de son corps, d’enfouir mon visage entre ses seins, de pétrir ses hanches… Elle se penche et ses mains posées sur mes épaules m’obligent à m’allonger, puis elle se couche sur moi. Nos bouches se joignent. Sa langue un peu épaisse s’insinue entre mes lèvres. Je ...