1. Cagole de Palavas


    Datte: 23/06/2020, Catégories: Première fois Auteur: Jpj, Source: Hds

    ... cadence lente.
    
    Martin m’a prise aux épaules et a ri. Sa bouche est venue à la mienne et il m’a embrassée d’un petit baiser gentil de copain.
    
    Ses doigts ont couru sur mon thorax plat, légers. Il a serré ma taille. Il m’a attirée contre lui doucement irrésistiblement. J’ai senti contre mon ventre sa chaude dureté grandissante. Ses mains étaient à mes fesses et il me tirait à lui, écrasant entre nous la chose saillante.
    
    Il a juste dit, viens on file à la plage, on va se baquer dans l’eau méditerranéenne et on se roulera tout nus tout mouillés pour être couverts de sable sec et chaud et puis on se frottera l’un l’autre, tu verras comme c’est bon les peaux qui raclent qui se raclent mutuellement.
    
    On a filé à travers le no man’s land de dunes plantées d’oyats et dévalé vers la plage au sable blond, main dans la main, en courant.
    
    Près de l’eau la grève était marquée de quelques galets ronds, une ligne qui courait de Maguelone jusqu’au Robinson de Grand-Travers sur à peine un mètre de large. C’était en quelque sorte la limite entre plage et mer.
    
    Il a descendu le slip fluo pistachio le long de ses cuisses jusqu’à ses pieds en me tournant le dos. Le teeshirt a rejoint le maillot sur les galets et je me suis exécutée, en concordance, faisant glisser doucement les bretelles sur mes épaules puis le tube du une-pièce sur mon thorax ma taille mes hanches mes cuisses. Face à la mer immense et vide, face à l’Afrique que j’espérais bien trop lointaine pour outrager ma ...
    ... pudeur.
    
    Mes fesses claires matées par les mamans assises sur leurs serviettes et leurs mouflets innocents, mes petites fesses serraient fort leurs grands fessiers en réflexe pour cacher à quiconque mes intimités à peine velues de duvet juvénile.
    
    D’autant qu’il y avait pléthore d’allongés sur le sable se torturant la nuque en contre-plongée pour apercevoir ma fente entre les parenthèses charnues de mon adolescence.
    
    Fi du spectacle, nos impédimenta posés sur les galets, j’ai pris sa main et nous sommes entrés dans les flots bleus.
    
    Ne dit-on pas, Palavas-les-Flots ?
    
    Le sable était fin à nos plantes à nos orteils et nous avons marché encore quelques dizaines de mètres jusqu’à n’avoir plus pied.
    
    Il me serrait contre sa poitrine et j’étais contrite qu’il ne puisse apprécier deux gros coussins nibars. J’étais bien trop gamine... En revanche, moi je me régalais de sa saillie dure autoritaire déterminée contre mon ventre.
    
    Ma main est allée, par en dessous, aux roupes. Histoire de vérifier leur parité. Son sac était contracté comme une boule de pétanque d’acier dure et ronde. Et les peaux étaient striées. Ma paume se régalait de la chaleur irradiée.
    
    Sa tige dardait un gland doux et fin sous le charnu de mes doigts. J’ai voulu savoir et, yeux ouverts sous l’eau méditerranéenne, j’ai plongé en apnée pour voir de plus prés.
    
    Je n’avais pas alors autre désir que de voir que de toucher. Curiosité intellectuelle, rien de plus. Curiosité, moteur d’évolution.
    
    Mais, ...