Kévin
Datte: 19/01/2018,
Catégories:
f,
h,
fh,
fplusag,
Masturbation
nopéné,
conte,
fantastiqu,
Auteur: LouVilneau, Source: Revebebe
... un peu mes enfants, je les chouchoute… même toi, tu pourrais être mon fils ! ».
Je ne sais pas ce qui se passe ce matin, mais elle pleure. La tête baissée au-dessus de son bol, elle est secouée de sanglots. Remué, je me lève et, penché sur elle, je passe mon bras sur ses épaules pour la serrer contre moi.
— Qu’est-ce qui se passe ? Est-ce que c’est moi qui ai dit quelque chose ?
Elle hoquette :
— Oh non, Ké-Kévin, tu-tu es gentil… j’ai-j’ai plus ri-rien dans la vie… je suis co-comme mo-morte !
Un grand coup de déprime ! Comme la plupart des hommes devant une telle détresse féminine, je me sens totalement démuni. Je balbutie des mots sans suite :
— Allons… faut pas s’en faire comme ça… je suis là (tu parles d’un réconfort !). Reprenez-vous… je vous en prie…
Alors, sans réfléchir, je prononce lemot-qui-rend-les-femmes-heureuses… Sidéré par mon imprudence, je m’éloigne d’elle pour observer le contrecoup de mon inconséquence.
Sur son visage, je lis la stupéfaction. Elle me cherche du regard. Je suis fasciné ; je la vois se transformer progressivement : elle sourit, ses narines palpitent, ses yeux se mettent à briller, et je distingue nettement les rides profondes de son front et de ses yeux qui s’estompent. Progressivement, sa peau retrouve l’élasticité et la carnation de la jeunesse.
C’est à moi qu’elle sourit. Sans proférer aucun son, sa bouche prononce « Merci, Kévin ».
Elle me prend par la main et m’entraîne dans sa chambre. Devant son lit, une ...
... armoire présente un grand miroir devant lequel elle se place. Elle laisse glisser la robe de chambre à ses pieds puis, d’un geste rempli de souplesse, elle fait passer la chemise de nuit par-dessus sa tête. Elle est nue.
Pour la première fois, je réalise que c’est une belle femme, une femme désirable !
Elle se regarde avec une sorte de surprise admirative. Ses mains dénouent ses couettes ; machinalement, elle secoue la tête et tapote sa chevelure qui se met en place et vient encadrer souplement son visage. Sa carnation de blonde, très pâle, attire le regard vers le rose foncé de ses mamelons turgescents. De ses mains en coupe, elle rehausse ses seins pour les mettre en valeur et pour me les présenter :
— Oh, merci Kévin ! Regarde comme tu m’as fait belle…
Je balbutie :
— Mais, Madame, je n’y suis pour rien.
Elle rit.
— Oh non, plus de « madame » : appelle-moi Muriel… Et puis si, c’est bien toi qui as déclenché tout cela tout à l’heure.
Elle se trémousse un peu, tourne sur elle-même.
— Regarde, je ne savais pas que j’étais aussi séduisante.
Les mains toujours en coupe, ses pouces caressent les aréoles granuleuses. Le plaisir qu’elle se donne fait trembler ses jambes. Et lorsque les pouces prennent les tétons en tenaille, les compressant sur la racine des index, elle émet un long râle, ferme les yeux et s’écroule. Je me précipite, la rattrape et arrive à l’asseoir sur l’extrémité du lit. Je ne suis pas insensible à cette chair chaude entre mes bras ...