1. La bourgeoise et le marabout (45)


    Datte: 19/06/2020, Catégories: Zoophilie, Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... m’arrosent le visage de leurs jets crémeux. Oscar donne un ultime coup de ventre et j’ai l’impression qu’un robinet s’ouvre en moi. L’animal me féconde de sa chaude semence et nous restons ainsi accouplés quelques longues minutes le temps qu’il se vide en moi. Je suis comblée !
    
    Je reste allongée quelques instants le temps que Fernand ramène l’animal à sa boxe. Les deux hommes m’aident ensuite à me relever, j’ai du mal à tenir debout tellement cette saillie bestiale m’a exténuée et coupé les jambes. Une fois que j’ai soufflé et repris mes esprits, ils m’aident à remettre ma robe. J’arrange ma tenue et, devant un vieux miroir fixé devant un lavabo crasseux dans un cagibi, j’arrange mon aspect et me remaquille. Avant que je leur tourne le dos, les deux palefreniers me flattent la coupe et me remercient pour cet excellent moment.
    
    Je rejoins les autres invités dans le grand salon et m’empare d’une flûte de champagne et de quelques viennoiseries pour reprendre des forces. C’est à ce moment qu’Etienne et François surgissent à mes côtés. Le maître de maison me dit :
    
    — Alors ...
    ... Hélène, vous aviez disparu ? François était très inquiet qu’il vous soit arrivé quelque chose.
    
    Mon mari poursuit :
    
    — Oui, cela fait plus d’une demi-heure que je te cherche. Tout va bien ?
    
    Très sérieusement, je leur réponds :
    
    — Oui, tout va bien. J’ai eu un petit coup de fatigue et je suis allée m’allonger au premier dans la chambre d’amis.
    
    Etienne me fait un grand sourire, porte sa main à mes cheveux puis, se tournant vers François, lui tend quelques brins de foin en disant :
    
    — Ta femme me surprendra toujours ! Mais j’en saurai certainement plus demain en discutant avec mes gars dans les écuries.
    
    François pose une main sur mes fesses et m’attire à lui. Il se penche vers moi, me hume comme s’il voulait deviner le parfum que je porte, et répond à son ami :
    
    — Elle sent la pouliche que l’on vient de saillir. Tu remercieras tes palefreniers d’avoir si bien veillé sur ma femme.
    
    Tandis qu’ils poursuivent leur conversation, je les écoute distraitement, serrant bien fort les cuisses pour tenter de retenir le foutre d’Oscar qui commence à couler le long de mes jambes... 
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