1. La bourgeoise et le marabout (45)


    Datte: 19/06/2020, Catégories: Zoophilie, Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... pouliche !
    
    Avant que je fasse le moindre mouvement, les deux hommes réussissent à placer les pattes du poney de part et d’autre de la botte de foin sur laquelle je suis allongée. Je serre fort les jambes, mais il m’est impossible de me dégager, car je suis maintenant collée au ventre de l’animal. Son sexe mou est posé sur mon ventre et son gland arrive presque entre mes seins.
    
    Fernand s’écrie :
    
    — Je vais lui caresser les bourses, cela va l’exciter.
    
    Je devine entre mes jambes la main vigoureuse du palefrenier qui malaxe les testicules de l’animal. Cela fait rapidement son effet, car le membre d’Oscar s’anime et reprend vie. J’ai maintenant son long et gros mandrin qui s’agite sur mon ventre et entre mes seins. Tandis que Pierre m’oblige à écarter les jambes, Fernand se saisit de la queue du poney et vient la frotter contre ma vulve. L’animal doit comprendre ce que l’on attend de lui, à moins qu’il ne sente le parfum de jument en chaleur qui se dégage de tout mon corps, car il commence à donner de légers coups de queue d’avant en arrière.
    
    Pour éviter que je ne sois transpercée, Fernand garde une main sur la hampe de l’animal pour interdire toute pénétration trop brutale. De son autre main, il guide le gland sur ma fente. L’odeur de l’animal, l’étrangeté de la situation et l’envie de briser le tabou m’excitent au plus haut point. De mes deux mains, je caresse la tête de l’animal et je lui parle.
    
    — Vas-y Oscar, baise-moi. Ouvre-moi de ta grosse ...
    ... queue !
    
    Les deux hommes sont aussi excités que moi et ils constatent qu’ils peuvent désormais me lâcher et laisser faire l’animal. Du coin de l’œil, je peux voir qu’ils se branlent en regardant notre étreinte bestiale. J’écarte grand les jambes, j’ondule du bas-ventre et le gland d’Oscar pénètre lentement mes chairs. Je me mords les lèvres pour ne pas crier ma douleur, mais chaque centimètre gagné par l’animal en moi me rapproche de l’extase. Je ne pense à rien, me laisse aller et j’abandonne mon corps qui se détend. Pour faciliter la pénétration, Pierre glisse sa main libre entre mon ventre et celui de l’animal. Il joue avec mon clito et quelques instants plus tard, voilà le sexe de l’animal entièrement planté en moi. J’ouvre grand la bouche pour respirer à pleins poumons et, petit à petit, la douleur de la pénétration disparaît. La queue du poney me remplit de partout et, lorsqu’il commence ses va-et-vient, je jouis comme jamais cela ne m’est arrivé.
    
    J’ai pourtant goûté à de grosses queues, comme celle de mon maître Coulibadou ou celles de ses amis africains, mais là, c’est vraiment comme une découverte. La queue coulisse en moi et me procure des sensations inédites. Quel régal d’être ainsi possédée, de n’être qu’un défouloir pour le poney. Je me demande ce qu’il peut ressentir ! Mon fourreau est plus serré et plus étroit que celui d’une ponette et j’imagine que son sexe doit ressentir plus de plaisir dans mon fin boyau. Fernand et Pierre jouissent quasiment en même temps et ...
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