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La bourgeoise et le marabout (45)
Datte: 19/06/2020, Catégories: Zoophilie, Auteur: hélène75, Source: Xstory
Il fait un temps gris en Normandie, mais Etienne de la Roche-Faron sait accueillir ses invités. Dès le hall de sa riche demeure bourgeoise franchi, on se retrouve dans un vaste salon où un feu de bois crépite dans la grande cheminée. Notre dernière visite chez Etienne, un grand ami de mon mari François, remonte déjà à quelques mois (Cf. chapitre 27 « Pouliche en chaleur ») et j’en garde un souvenir brûlant. Mais cette fois-ci, nous ne sommes pas les seuls invités de notre hôte dans son superbe centre équestre. Etienne organise en effet une grande réception pour fêter la 100ème victoire de l’un de ses chevaux dans une course hippique. Bien qu’il ait un peu plus de 65 ans, Etienne continue d’être passionné par les chevaux et l’ambiance des courses hippiques. C’est donc pour lui un grand plaisir de recevoir une cinquantaine d’amis afin de célébrer l’événement et partager cette passion de la plus belle conquête de l’homme. Comme le carton d’invitation mentionnait « Tenue de soirée de rigueur », François et moi nous sommes mis sur notre 31 pour faire honneur à notre ami. François porte un smoking noir rétro avec veste à queue-de-pie et nœud papillon ; il fait très classe ! En ce qui me concerne, j’ai mis une longue robe fourreau argentée très près du corps. Le profond décolleté met en valeur ma poitrine bien ferme et la robe laisse mon dos nu jusqu’en bas des reins. Dessous, j’ai mis un mini-string pour éviter que l’on voit la marque d’une petite culotte sous ma robe et ...
... je porte des bas autofixants dont on devine parfois la large jarretière lorsque je marche et que s’ouvre la fente sur le côté de ma robe. Des escarpins brillants à hauts talons complètent ma tenue et rendent ma démarche particulièrement féline. Au bout d’une bonne heure, j’ai largement profité de l’excellent buffet dressé sur les tables et abusé de quelques coupes de champagne apportées par des serveuses particulièrement charmantes. Maintenant assise près de la cheminée, je papote avec quelques femmes dont je viens de faire la connaissance. Ce sont des épouses de propriétaires de chevaux et je comprends vite qu’elles partagent toutes la passion de ces animaux. Au hasard des conversations, je découvre aussi qu’elles partagent la passion des jeunes palefreniers et des jeunes moniteurs d’équitation. En moi-même, je me remémore notre visite précédente en Normandie et mes étreintes fougueuses avec le jeune Antoine qui m’avait accompagnée pour une promenade à cheval dans les environs. A l’évocation de ces souvenirs érotiques et peut-être aussi sous l’action du champagne, je me sens toute guillerette et une douce chaleur commence à envahir mon entrejambe et à irradier mon bas-ventre. Je me lève et dis à ces dames que j’ai besoin de prendre l’air pour me rafraîchir un peu. Une fois dans le hall, je mets un léger manteau sur mes épaules pour ne pas prendre froid et je sors à l’extérieur. Dehors il fait nuit et une légère brume a déjà commencé à plonger les lieux dans un ...