1. La bourgeoise et le marabout (45)


    Datte: 19/06/2020, Catégories: Zoophilie, Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... Laissez vous faire, n’ayez pas peur ! Ils ne sont pas méchants.
    
    Alors que nous arrivons devant une boxe vide où sont stockées quelques bottes de foin, il me pousse un peu brusquement à l’intérieur et referme la porte derrière nous. Me regardant d’un air lubrique, il me dit :
    
    — Mon collègue Fernand m’a montré des photos d’une belle bourgeoise qui leur a été offerte il y a quelques mois par son mari et le maître des maisons. Je vous ai tout de suite reconnue !
    
    Je me souviens alors que des photos avaient effectivement été faites lorsqu’on m’avait baisée dans les écuries et même lorsqu’on m’avait fait croire que j’allais être saillie par un poney.
    
    Je n’ai pas le temps de répondre que Pierre ajoute :
    
    — J’étais absent cette nuit-là, mais les copains m’ont tout raconté. Vous êtes encore plus sexy ce soir dans votre belle robe de Parisienne.
    
    La situation est des plus excitantes dans cette écurie. Je suis en escarpins et robe de soirée, lui est en botte et tenue de travail. Je suis bien coiffée avec un petit chignon qui dessine ma nuque, il a sa casquette et j’imagine ses cheveux ébouriffés. J’ai les mains manucurées et les ongles vernis, il a de larges mains aux ongles noircis par le travail. Il s’approche de moi, me serre dans ses bras et prend possession de ma bouche. Son corps est plaqué contre le mien et je m’abandonne. Sa langue joue avec la mienne, ses mains sont plaquées sur mes fesses et son bas-ventre se soude au mien. Une onde de plaisir me parcourt le ...
    ... corps et je me colle encore plus près de lui, il comprend alors que la partie est gagnée et qu’il va pouvoir satisfaire ses envies lubriques. Il me retourne et défait les bretelles de ma robe qui glisse jusqu’à mes pieds. Il retire ses vêtements et les jette sur une botte de foin ainsi qu’une vieille couverture qui pendait accrochée à un clou.
    
    L’animal prépare la couche où il va nous coucher dans la luxure. Tandis qu’il retire ses sous-vêtements, j’enlève mon string et m’allonge sur le ventre en bas et escarpins. Il vient derrière moi et sa bouche se pose sur mes fesses. Il glisse ses mains sous mon ventre et me soulève le bassin pour ainsi mieux accéder à mon cul et à ma chatte. Je ferme les yeux pour mieux m’imprégner de l’ambiance, je respire à plein nez l’odeur du foin, des écuries et des animaux qui s’agitent dans les boxes d’à côté.
    
    Je suis maintenant bien trempée et Pierre le comprend, car il se colle à moi et sa queue me pénètre la chatte d’un coup sec. Bien allongé sur moi, il me besogne à grands coups de queue en me mordillant la nuque. Ses mains se glissent sous moi et il me pétrit les seins de ses paumes calleuses. J’aime ce contact viril, presque bestial. La douce bourgeoise parisienne se fait saillir par le palefrenier de service, j’avais l’impression de tourner dans un remake de « L’amant de Lady Chatterley » ! Voici maintenant Pierre qui se retire, me fait mettre à quatre pattes et me dit :
    
    — Je vais maintenant bien vous enculer, car je sais que vous ...
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