1. Transfert sexuel


    Datte: 18/06/2020, Catégories: ffh, fplusag, hplusag, médical, fsoumise, fgode, fdanus, confession, Auteur: Linda, Source: Revebebe

    ... êtes capable de l’engloutir. Fermez les yeux et imaginez que c’est votre compagnon ou… quelqu’un d’autre. À glissé la docteure sur un ton espiègle.
    
    À vrai dire, je n’avais besoin d’imaginer personne d’autre qu’elle. La situation était très excitante en soi. Toute personne ayant déjà suivi une thérapie aura sans doute connu le fameux transfert et ce que je vivais là en était le fantasme matérialisé. Je suis une belle femme et je me suis retrouvée plusieurs fois en présence de partenaires sexuels très excités, trop à vrai dire, et cela coupait ma libido. C’est sans doute ce qui se produit actuellement avec mon compagnon. Si l’on se jette sur vous goulument, sans vous laisser suffisamment de place pour désirer et séduire, votre éros s’endort…
    
    Malgré tout, la réalité de la thérapie était là, j’avais mes blocages, mes angoisses. Les effets du comprimé et du suppositoire s’atténuaient sérieusement et je sentais que j’étais en train de me crisper à nouveau. La psychiatre s’en est aperçue.
    
    — Vous semblez avoir de la peine à vous ouvrir totalement. Pour vous aider, je vais introduire un liquide décontractant dans votre anus.
    
    Aussitôt dit, aussitôt fait ! Pendant que le secrétaire maintenait le gode en place, la docteure m’a massé la rosette avec du lubrifiant en opérant une pression croissante. J’ai senti un doigt s’enfoncer en moi, elle a fait quelques allées et venues, puis en a introduit un deuxième et encore un troisième. Elle a effectué une petite tension, comme ...
    ... pour m’étirer l’orifice et a retiré sa main. Le secrétaire lui a tendu une poche d’eau. Un petit tuyau transparent est venu se glisser entre mes seins. Qu’est-ce que ça pouvait bien être ? Dans la position où j’étais, il m’était difficile de voir ce qui se passait autour de moi.
    
    Soudain, alors que je ne m’y attendais absolument pas, un objet dur et froid est venu se placer entre mes fesses. Je me suis contractée. La psychiatre a remarqué mon inquiétude. Elle m’a fait un clin d’œil.
    
    — Pas de panique, c’est juste une petite canule, laissez-moi la mettre en place correctement.
    
    J’ai respiré profondément et me suis efforcée de me détendre. Bientôt un liquide froid s’est déversé dans mon antre. Je me suis débattue. Le secrétaire a appuyé fermement sur mes épaules pour me maintenir en place.
    
    — Ne vous agitez pas, ce n’est rien de nocif, a expliqué la docteure. Cela va vous détendre. Voilà, très bien, je sens que ça va déjà beaucoup mieux, encore un tout petit peu.
    
    À mesure qu’elle m’administrait son fluide décontractant, j’avais l’impression que tout mon corps devenait ouverture et désir de pénétration. Avec sa main libre, elle me caressait les reins et les cuisses et me massait tendrement le ventre. Son regard était dirigé vers mon sexe.
    
    — C’est parfait, relaxez-vous. Je vois que vous êtes en train de vous ouvrir. Vos tétons durcissent, votre anus se dilate et votre vagin se gonfle. Vous allez sous peu jouir.
    
    Et effectivement, j’avais beau me sentir honteuse, je ...
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