1. Transfert sexuel


    Datte: 18/06/2020, Catégories: ffh, fplusag, hplusag, médical, fsoumise, fgode, fdanus, confession, Auteur: Linda, Source: Revebebe

    ... a-t-elle répliqué.
    
    Elle s’est approchée de moi et calmement, m’a rassurée.
    
    — Vous devez déjà ressentir certains symptômes. N’ayez absolument pas peur, je suis là. Nous allons aller dans une autre pièce pour poursuivre notre séance.
    
    Elle m’a aidée à me relever et m’a guidée au fond du couloir. Elle a poussé une porte et m’a fait entrer dans une chambre étrange dont les murs étaient de couleur bleutée. Au milieu, il y avait une chaise de gynécologue, à droite une longue armoire vitrée remplie de flacons et d’objets de toute sorte et à gauche de la porte, un petit lavabo. La vision de cette pièce singulière additionnée aux effets du comprimé m’a fait défaillir. La psychiatre m’a retenue.
    
    — Ne vous inquiétez pas, ça va très bien se passer.
    
    Deux coups à la porte, c’était encore le secrétaire.
    
    — Madame la docteure, il y a un téléphone important pour vous.
    
    Elle s’est retournée vers moi.
    
    — Vous pouvez vous déshabiller complètement et enfiler la chemise blanche qui est pliée sur le tabouret, je reviens dans quelques minutes.
    
    Je me suis retrouvée toute seule dans l’insolite pièce bleue. Il n’y avait ni cadres au mur, ni fenêtre. Juste cette grande armoire, la chaise, le lavabo et dans un coin un petit tabouret où était déposée la chemise. J’étais encore sous l’effet du comprimé. Qu’est-ce que cela pouvait bien être ? Je voyais tout tourner et je ressentais une immense excitation en moi. Je me suis déshabillée et j’ai enfilé la chemise. Elle était ...
    ... relativement courte et se fermait par-devant avec de petites pressions. Comme la psy ne revenait pas, je me suis assise sur la chaise d’auscultation. J’essayais de respirer lentement et de penser à autre chose.
    
    Deux coups ont résonné, j’ai sursauté et me suis levée d’un coup. Le secrétaire s’est glissé dans la chambre.
    
    — Surtout, ne vous sentez pas incommodée par ma présence, a-t-il lancé d’un ton jovial. La docteure ne va pas tarder à revenir. En attendant, elle me demande de vous administrer un suppositoire.
    
    L’homme, d’une cinquantaine d’années lui aussi, s’est approché du lavabo, il a enfilé des gants en latex et saisi un tube de vaseline, puis il m’a fait signe de m’approcher.
    
    — Pourriez-vous vous pencher en avant sur ce lavabo, s’il vous plaît ? Je vais vous l’enfiler.
    
    L’effet du comprimé était radical, même si je ressentais une énorme gêne, j’étais sous l’emprise de mes pulsions et j’étais incapable d’émettre la moindre objection. J’ai posé mes mains sur le lavabo, il a appuyé fermement sur mes épaules pour que je me baisse davantage. Ma position était très humiliante. J’avais les fesses relevées. Il a soulevé ma chemise et a glissé suavement sa main dans ma fente.
    
    — Parfait, détendez-vous, cela ne sera pas douloureux.
    
    Il a enduit ma rosette de lubrifiant et m’a enfoncé le suppositoire profondément en laissant son doigt dans mon intimité.
    
    — Bien, bien, ne bougez pas ! Je vais rester ainsi quelques minutes pour être sûr qu’il ne ressorte pas.
    
    Deux coups à ...
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