1. Transfert sexuel


    Datte: 18/06/2020, Catégories: ffh, fplusag, hplusag, médical, fsoumise, fgode, fdanus, confession, Auteur: Linda, Source: Revebebe

    ... la porte.
    
    — Voilà ! désolée de vous avoir fait attendre ! s’est exclamée la psy.
    
    Elle ne s’est absolument pas étonnée de la position cocasse dans laquelle je me trouvais.
    
    — Merci, Paul, ça va aller.
    
    Le secrétaire a retiré son index de mon anus, il a serré mes fesses entre elles et m’a donné une petite tape comme pour s’assurer que le suppositoire ne s’évaderait pas. Il m’a souri puis est allé préparer des ustensiles. La psychiatre s’est approchée de moi, elle m’a pris par la main pour me guider vers la chaise d’auscultation.
    
    — Vous pouvez vous asseoir.
    
    Elle a saisi délicatement mes jambes l’une après l’autre pour les glisser dans les appuis.
    
    — Détendez-vous, tout va très bien se passer.
    
    Elle a caressé mon entrejambe et a ajusté mes cuisses.
    
    — Écartez bien vos jambes.
    
    Je me sentais décomposée et dans une position très dégradante, la docteure semblait lire dans mes pensées.
    
    — Ne soyez pas mal à l’aise, tout ce qui se passe ici va vous permettre d’assumer le plaisir et de vous libérer de vos blocages.
    
    En même temps qu’elle me parlait, elle enfilait des gants en latex et observait mon intimité.
    
    — Paul, vous avez vu comme l’effet du suppositoire est radical ? s’est-elle étonnée. Elle s’est déjà bien dilatée, ça va vraiment améliorer la séance.
    
    Le secrétaire s’est approché pour contempler son œuvre. Il a acquiescé d’un air satisfait.
    
    Soudain, j’ai senti quelque chose de froid sur mon vagin. J’ai sursauté.
    
    — C’est de la vaseline, m’a ...
    ... expliqué la psy. Je suis en train d’en étaler sur votre vulve et j’en glisse un peu dans votre anatomie. Je vais provoquer une excitation. Respirez profondément et laissez vos pensées émerger.
    
    Elle m’a masturbé, pétrifié le clitoris et enfoncé suavement les doigts dans le vagin. Chaque caresse était choisie et déterminée. Elle était experte en la matière. Le secrétaire est venu s’appuyer contre mon flanc. Il a ouvert ma blouse et a saisi mes seins pour les malaxer fermement. Mes tétons pointaient, timides, vers le plafond de la pièce. Je me sentais dans un état second. Avoir deux personnes en train de me toucher ainsi, de toute part et sans que cela ne leur provoque la moindre excitation me déconcertait et, paradoxalement, m’excitait. La psychiatre s’en est rendu compte.
    
    — Je vois que vous mouillez beaucoup et c’est bon signe. Ne vous laissez pas aller à l’orgasme maintenant : le but est que vous appreniez à ressentir les sensations qui s’opèrent dans votre corps et que vous acceptiez votre féminité.
    
    J’ai vu le secrétaire tendre un ustensile en métal brillant à la doctoresse. Je n’ai pas eu le temps d’en mesurer la largeur et la longueur mais je l’ai senti s’enfoncer lentement mais fermement dans mon sexe. Je sentais mon vagin s’étirer de manière inhabituelle, mais je n’ai pas osé protester. J’étais subjuguée par ce qui m’arrivait et je me sentais en confiance.
    
    — Je suis en train de vous introduire un gode de quelque 5 cm de diamètre. C’est assez large, mais vous ...
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