1. Plagisme - Le re-retour


    Datte: 18/06/2020, Catégories: fhh, plage, cérébral, couple+h, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... appellerait ça un copier-coller. Environ une heure plus tard, nous voici sur ce bord de mer, en train de nous installer à peu près à la même place que les autres fois. Regardant aux alentours, je suis un peu étonné : il n’y a pas grand monde aujourd’hui. Alors que je suis en train d’installer les affaires, j’entends un vigoureux bonjour derrière moi.
    
    Je me retourne. Déjà complètement nue (finalement, sa pudeur était plutôt mince), ma femme se jette littéralement sur le nouvel arrivant qui l’est tout autant. Nu, je précise, et toujours cette fichue lance à incendie bien évidente entre les jambes.
    
    — Bonjour, Adrien !
    — Bonjour, ma belle !
    
    Ma belle ? Cet Ostrogot l’appelle déjà « ma belle » ? Tandis qu’elle est collée contre lui, Adrien me tend une main que je saisis machinalement. Sa poigne est ferme, il ne cherche pas à me broyer la paume, alors que physiquement, il aurait pu le faire. Cet importun remonte un peu dans mon estime, même s’il ressemble un peu trop à un maître-nageur « musculaté » de partout, un autre détail que semble apprécier ma garce de femme.
    
    Ma femme et Adrien s’allongent sur leur serviette, l’un à côté de l’autre. Aussitôt, ils papotent de tout et de rien. J’ai la nette impression d’avoir sous les yeux un couple qui se connaît depuis longtemps. Je me sens un peu étranger.
    
    À mon tour, je me mets en tenue d’Adam. Ma femme s’amuse à me regarder ôter mes vêtements. J’apprécie le fait qu’elle ne fait aucun comparatif entre mon anatomie et ...
    ... celle de son voisin. Ni en parole ni en regard. C’est toujours ça de pris. Mais bon, je sais très bien que la comparaison ne tournerait pas précisément à mon avantage. Néanmoins, ma femme m’a bien précisé dans la voiture que j’étais son mari et que c’est moi qu’elle aimait. Ce dont je suis fier. Mais je me méfie quand même de la concurrence, surtout quand elle est formatée comme cet Adrien de malheur.
    
    Alors que je m’apprête à m’allonger un peu à l’écart, ma femme m’interpelle :
    
    — Allez, allez… allonge-toi là, à côté de moi…
    
    Je suis un peu interdit, j’hésite un peu, ma serviette en main. Un grand sourire aux lèvres, ses mignons seins dressés vers moi, Claudine tapote sur le sable, juste à côté d’elle :
    
    — Allez, allez ! Te fais pas prier !
    
    Je m’exécute. Une sourde sensation me murmure qu’une étape risque d’être franchie dans peu de temps. À peine suis-je allongé que Claudine pose sa main sur mon ventre. Son contact ne me laisse pas de marbre et aussitôt, ma virilité se manifeste, ce qui fait rire doucement ma tentatrice :
    
    — Ahlala, ces hommes !
    
    Ses doigts glissent vers mon sexe déjà bien dressé et dur. Et sans complexe, ces mêmes doigts s’emparent de ma tige tandis que son autre main en fait de même sur Adrien. Puis de façon synchrone, Claudine nous branle, lentement, mais fermement. Je le vois bien à son visage, cette situation l’excite beaucoup. Elle s’amuse posément avec nos joysticks de chair, ses doigts coulissant amplement le long de nos colonnes ...
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