1. Plagisme - Le re-retour


    Datte: 18/06/2020, Catégories: fhh, plage, cérébral, couple+h, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    Nous voici à nouveau sur cette fameuse plage naturalistes/nudistes. Côté passager, Claudine, ma femme, est assez fébrile, elle croise et décroise les jambes depuis notre départ, elle a visiblement hâte d’être déjà arrivée ! Elle est très enthousiaste de ses dernières avancées en matière de liberté de mœurs en bord de mer ! Il y a peu, j’aurais dit que ça faisait bien mes affaires et mes fantasmes, mais voilà, je me méfie beaucoup de ce fichu Adrien, que je surnomme à juste titre Grosse-Queue, et je sais qu’il sera là, j’en mettrais ma… main à couper ! C’est dire…
    
    — On n’est pas encore arrivé ?
    — Attends encore un peu, ma chérie ! Tu sais pourtant que la mer n’est pas toute proche de la maison.
    — Je sais, je sais, mais ça me paraît bien long…
    
    Je préfère éviter de répondre. Quand je pense qu’il y a quelques jours, je me faisais un plaisir d’aller à la plage afin de la voir se balader seins nus et même plus. Mais voilà, ma chère femme a pris goût au naturalisme, voire même à l’exhibition. Elle l’a très bien prouvé quand elle est sortie sensuellement de l’eau et qu’elle a traversé nonchalamment entre les serviettes des divers plagistes présents qui la zieutaient sans vergogne !
    
    Je reconnais que ça fait plaisir d’avoir une femme qui provoque le désir et l’envie. Mais tout est aussi une question de dosage. Le sel ou le poivre, c’est très bien pour relever un plat, mais quand il y en a trop, ça devient immangeable !
    
    Comme les autres fois, grâce à l’autoroute, nous ...
    ... arrivons vite à destination. Après quelques zigzags sur des petites routes, je gare la voiture sur le même parking sableux et pas mieux entretenu que les autres fois. Piaffant d’impatience, Claudine saute aussitôt hors de la voiture. Quel changement par rapport à il y a quelques jours ! Après avoir pris ce qu’il fallait dans le coffre, ma fébrile de femme et moi, nous nous dirigeons vers le bord de mer en traversant comme de coutume un mince cordon dunaire grâce à un chemin pavé de dalles de béton.
    
    Nous sommes à peine arrivés aux abords de la plage que ma femme s’arrête, cherchant visiblement quelque chose ou quelqu’un du regard. C’est avec une évidente satisfaction qu’elle dit :
    
    — Oui, oui, oui ! Adrien est là !
    — Ah…
    
    Que voulez-vous que je réponde à ça ? Que je fasse une scène alors que c’est moi qui me suis fourré dans cette situation incongrue ? Le point positif est que ma femme accepte à présent d’être nue sur une plage. Mon fantasme est enfin assouvi et c’est très bon de la voir déambuler complètement dévêtue devant tous ces hommes à la langue pendante, même si c’est un certain gugusse à grosse queue qui en profite le plus…
    
    Claudine lui fait des grands signes, il répond de même. Arrivé à peu près au même endroit que la fois dernière, je dépose mes affaires. Ma femme s’étonne :
    
    — Tu fais quoi ?
    — Ben… on ne s’installe pas ici comme la dernière fois ?
    — Oh non ! Approchons-nous d’Adrien, ce sera plus simple.
    — Plus simple ? Comment ça, plus simple ?
    — Eh ...
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