Plagisme - Le re-retour
Datte: 18/06/2020,
Catégories:
fhh,
plage,
cérébral,
couple+h,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... importe si leurs lèvres se soudent, se dévorent, s’engloutissent.
Peu importe si une bouche vorace lèche, suce, tète, dévore les seins fermes et les tétons érigés qui lui sont offerts.
Peu importe si une autre bouche lèche, suce, tète et dévore un large torse, puis un ventre dur et modelé.
De saisissement, j’en tombe littéralement sur le cul, les fesses dans le sable chaud, sans arriver à détacher mon regard du spectacle licencieux, la bouche ouverte, les yeux exorbités. Avec une voix de chatte en chaleur, Claudine murmure entre deux soupirs :
— Oh que c’est bon, oh que c’est bon, d’être désirée comme ça et le fait que tu me regardes aussi comme ça ! Oh oui !
Ils s’enhardissent, tandis que je reste toujours figé. Déjà la menue main de ma femme s’empare d’un sexe dur et long qui palpite sous ses doigts. Déjà cette même main le branle délicatement, puis de plus en plus posément, comme possessive et victorieuse, sûre de son affaire et de son pouvoir, les doigts légèrement écartés pour mieux prendre possession de toute cette tige chaude.
Puis, baissant la tête, impudiquement, ma femme dépose un léger baiser sur le bout écarlate, tout en me regardant droit dans les yeux. Puis, comme au ralenti, elle ouvre la bouche, écartant ses lèvres rosées afin d’engloutir petit à petit cette grosse queue goûteuse. Avec application, elle suce, elle pompe suavement ce nouveau jouet. Puis peu après, elle s’en détache, sans lâcher pour autant ce braquemart bien frémissant. Levant ...
... la tête, yeux mi-clos, lèvres humides et légèrement baveuses projetées en avant, elle me susurre d’une voix un peu rauque et très sensuelle :
— Tu peux pas savoir comme c’est bon ! Mais ça va être encore meilleur pour toi comme pour moi dans très peu de temps !
Puis se mettant bien face à moi, se soulevant au mieux, jambes bien écartées, elle positionne sans hésitation cette grosse queue juste à l’entrée des lèvres frissonnantes et entrouvertes de sa chatte déjà détrempée. Avec le bout du gland, elle taquine son intimité, frotte le méat contre son clitoris, lentement, longuement, sensuellement, vicieusement.
— Oh, que c’est bon ! Hummm, c’est si bon de le faire devant toi ! Oh oui !
Elle ouvre grands les yeux, me fixe de son regard clair, les pupilles largement dilatées, puis d’un seul coup, elle se laisse choir, s’empalant en gémissant sur ce gros mandrin qui entre sans effort en elle !
Paniqué, ulcéré, sortant de ma torpeur, je me lève d’un bond ! Trop, c’est trop !
Et je me réveille en sursaut en plein beau milieu de la nuit !
Hagard, je regarde autour de moi. Ma femme dort tranquillement à mes côtés. Je glisse un œil vers le radioréveil : il est environ trois heures du matin. Flageolant, je me cale contre l’oreiller, mon front est inondé, mes mains tremblent, ce rêve était décidément bien trop réaliste. J’ai du mal à m’en remettre, et aussi à admettre que ce n’était qu’un cauchemar, tant ça m’a paru vrai. Je soupire de soulagement, peut-être que j’ai ...