Julie, femme libre et crucifiée
Datte: 18/06/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Anal
Humour
Auteur: scribouillard, Source: xHamster
... bras ne supportent pas tout le poids de son corps. Nous avons solidement entouré ses chevilles de corde, ses jolis petons posés sur les plantes à plat sur les côtés du stripes, à un mètre de hauteur environ, de manière à l’obliger à écarter largement ses cuisses : sa fleur sexuelle ouverte était pleinement exposée aux regards, libre d’accès, au niveau des yeux des spectateurs qui pouvaient approcher à loisir, et pourquoi pas tripoter les organes génitaux afin d’explorer digitalement le vagin et de tester la sensibilité du clitoris au roulement sous les doigts coquins. Régine et Caroline, nos deux amies lesbiennes, se sont amusées à la branler ainsi pendant un long moment, à tour de rôle et de toutes les façons possibles, en comparant les caractéristiques physiques de cette efflorescence avec leur propre anatomie féminine, ce qui les a beaucoup émoustillées. Puis, chauffées à blanc et négligeant les consignes de décence vestimentaire, elles se sont dévêtues pour faire l’amour au pied de la croix. Rose leur a jeté un regard courroucé et Julie les a regardées se sucer mutuellement le minou en soixante-neuf. Je crois que cela lui a plu, car, du haut de son perchoir, elle a arrosé le couple saphique d’une pluie de mouille, tandis qu’un autre couple a pris le relais pour peloter le sexe.
Julie savait qu’elle n’avait qu’un mot à dire, le mot de sécurité, pour qu’on la libère, mais elle s’était solennellement promis de ne jamais le prononcer, quoi qu’il advienne. Paradoxalement, ...
... jamais elle ne s’était sentie plus libre qu’attachée sur sa croix où ses mouvements étaient restreints à une ondulation du bassin, dans une danse bizarre, lascive, très sensuelle, dont on dit que seuls les crucifiés la connaissent. Ses muscles saillaient magnifiquement sous le soleil, dans un jeu d’ombres et de lumières à l’esthétique totalement bandante. Elle souffrait, tant sa posture était inconfortable, et le sédile écartelait la petite rosette anale en la fouillant chaque minute de plus en plus profondément, tout en vibrant, ce qui lui causait une étrange volupté. Elle se félicitait de s’être administré un lavement avant de venir à ce rendez-vous. Elle souffrait, mais en même temps, le plaisir montait en elle par vagues, irrépressiblement. Elle ne voulait pas jouir. Pas devant tout le monde, pas sous dix paires d’yeux qui la contemplaient dans sa nudité : son éducation, enracinée en elle, le lui interdisait formellement. Dans un sursaut de fierté, elle a lutté, s’est mordu la lèvre inférieure jusqu’au sang, a tenté de penser à autre chose afin de réfréner les spasmes qui assaillaient son bas-ventre.
Mais elle savait bien que c’était un combat perdu d’avance. L’orgasme a déferlé sur elle comme un raz-de-marée, dépassant de loin en intensité tout ce qu’elle avait connu dans les bras de son mari, ou cachée au fond de son église en fantasmant sur ce qui était en train de lui arriver. Elle a projeté devant elle un geyser de mouille chaude qui pleuvait sur nous, spectateurs ...