Evolutions (10) - Histoires de Sexe

Evolutions (10)

... me recule rapidement, mais en faisant attention à ce que mon gland reste à l’intérieur de son vagin, et je donne un deuxième coup de boutoir. J’ai droit à un deuxième cri de sa part, mais plus faible, et étant donné qu’elle ne semble pas avoir envie de se plaindre autrement, je commence à un rythme assez soutenu, à faire des allers et retours en Alice. Cette dernière ne tarde pas à m’accompagner dans mes mouvements, ce qui comme je peux le voir dans le miroir, mais aussi grâce au fait qu’ils dépassent de son buste, imprime à ses seins lourds un mouvement de balancier, qui me plaît énormément. Sa crinière de jais pendue en queue-de-cheval sur son flanc gauche se met également à tressauter, et je me surprends à regretter de ne pas avoir une troisième main, qui me permettrait de l’agripper comme si c’était les rênes d’une monture.

Mais ce qui est pour moi un vrai régal, c’est que je peux sur son magnifique visage et à travers le miroir, constater la montée de son plaisir. C’est également ce qu’elle fait puisqu’elle se regarde toujours, et cela doit l’exciter au plus haut point, puisque si au départ, ses traits montraient sa concentration, qui avait probablement pour but de l’aider à mieux ressentir ses sensations, ils se détendent peu à peu sous l’effet de ces dernières. Ses beaux yeux marron-clair deviennent de plus en plus brillants, et ils finissent par devenir hagards, comme si son état d’excitation devenait trop intense pour qu’elle arrive à le ...

... gérer.

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Cette constatation de ma part n’est pas démentie par la façon dont se comporte le reste de son corps, puisqu’Alice se met à aller de plus en plus rapidement le long de mon sexe tendu. Au point que je suis obligé de m’arrêter de bouger, et de la maintenir plus fermement par les hanches, dans le but d’éviter que ma queue ne ressorte d’elle. D’autant plus que son vagin qui s’est rapidement adapté aux dimensions de mon membre s’est également abondamment lubrifié, et que ma partenaire s’empale davantage librement sur moi.

Cependant, si ses mouvements du bassin deviennent fougueux, ils n’en sont pas pour autant désordonnés, et je suis surpris de constater vu son manque d’expérience, de la facilité avec laquelle son corps bouge. Les allers et retours de mon amante sont ponctués par ses râles de plaisir, lâchés aux moments où nos bassins viennent cogner l’un contre l’autre, et ils sont superposés aux bruits que fait sa lourde poitrine, lorsqu’elle vient s’écraser contre ses bras. Et entre deux oscillations, il y a le clapotis que fait ma queue, qui baigne dans le jus abondamment produit par ma partenaire.

Cet accouplement de plus en plus bestial dure une dizaine de minutes, au cours de laquelle je finis par me retenir avec difficulté d’éjaculer, tant le plaisir que je ressens moi aussi est devenu intense. Et je suis presque soulagé lorsque je sens les contractions du vagin d’Alice, qui vient se resserrer autour de mon sexe, tout en le massant délicieusement. Bien entendu, à ce ...