Evolutions (10) - Histoires de Sexe

Evolutions (10)

... demandé.

Satisfait, je vais me mettre cette fois à genoux derrière mon amante, et après avoir caressé quelques instants ses fesses charnues, je me mets à palper sa vulve avec mes doigts. Je constate qu’elle est déjà poisseuse de mouille, et que ses petites lèvres lorsqu’elle a ouvert les jambes ont suivi le mouvement en restant collées contre leurs grandes sœurs. Cette fois encore, je suis émerveillé par la beauté de son sexe offert, et le fait que contrairement à hier, son vagin soit entrouvert, prouve qu’elle est très excitée par la situation dans laquelle je l’ai mise.

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C’est pour cette raison que je dis, comme si je me parlais à moi-même :

— Je me demande si ma belle cochonne est prête à ce que je lui plante ma queue dans le ventre, ou s’il vaut mieux avant que je la prépare un peu avec ma langue...

Alors qu’elle a recommencé à se fixer dans le miroir, et sans bouger les yeux, mon petit bout de femme me répond de la même manière, avec sa voix douce et grave devenue rauque :

— Je crois que la grosse cochonne aux nichons qui pendent a très envie de sentir une queue s’enfoncer en elle, sans attendre.

— Oui, mais ça risque au début de lui faire un peu mal.

— Peu importe, si sa douleur est rapidement remplacée par le plaisir. Car elles sont comme ça les grosses cochonnes, elles ont besoin de se sentir remplies de foutre, parce que c’est leur raison de vivre.

Le plus étonnant pour moi, ce n’est pas qu’Alice soit parfaitement entrée dans son rôle, ...

... mais qu’elle m’ait donné la réplique sans rougir une seule fois. Cela me met au comble du bonheur de la voir évoluer si rapidement, par conséquent, je place immédiatement mon gland contre ses nymphes, et après l’avoir attrapée par la taille, je commence à pousser lentement, dans le but de m’introduire en elle. Mais mon amante ne semble pas partager mon envie de prudence, puisqu’elle dit toujours sans me regarder, et en s’empourprant légèrement :

— Il y en a qui sont forts en gueule, et qui parlent de prendre les femmes comme des femelles en chaleur. Mais au moment d’agir, ils se comportent comme des puceaux.

Piqué au vif, je resserre mon étreinte, et je donne un grand coup de reins qui me fait m’enfoncer dans son vagin jusqu’à la garde, tandis que j’entends ses seins venir s’écraser contre ses bras, en faisant un bruit mat.

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Alice pousse alors un petit cri, qui, si je le trouve charmant, n’est - j’en suis convaincu - pas dû qu’au seul plaisir. Alors je reste bêtement planté en elle sans trop savoir quelle attitude adopter, parce que mon sexe s’est littéralement frayé le passage, et que même si j’ai senti que ce dernier était humide, j’ai peur de lui avoir fait mal. Mais contre toute attente, et toujours comme si elle se parlait à elle même étant donné qu’elle continue à se regarder, mon amante s’exclame :

— Ah ! Enfin une queue qui ne fait pas que parader, mais qui arrive à assurer quand on a envie d’elle !

Prenant cela pour une invitation à continuer, je ...