Evolutions (10) - Histoires de Sexe

Evolutions (10)

... d’un w.c. et d’un lavabo. Ces petites pièces peuvent toutes rester ouvertes, ou être fermées par des rideaux coulissants. Et si les deux plus grandes qui donnent sur l’avant de la maison, ont pour seule autre ouverture une fenêtre, celles qui sont sur l’arrière dont fait partie la pièce d’eau, sont chacune équipées en plus de deux portes-fenêtres. Une petite ouvrante sur les terrasses qui sont de chaque côté de la villa et qui sont couvertes, plus une grande qui permet d’accéder à la troisième terrasse, qui possède une vue imprenable sur la piscine.

La raison pour laquelle la salle de bain s’est retrouvée à cet endroit, c’est parce que l’alcôve qui se situe sur la droite est juste au-dessus de la cuisine, ce qui a simplifié les travaux par rapport aux canalisations. Mais c’est dans celle qui est sur la gauche, et qui de ce fait se trouve être au-dessus de mon bureau, même si ça n’a aucune importance, que nous nous rendons. Mon choix n’est absolument pas dû au hasard, mais parce que s’y trouve un miroir sur pied haut d’un mètre soixante-dix, qu’une de mes ex-compagnes m’avait fait acheter, pour l’installer dans ma chambre à coucher qui était alors également la sienne. Se trouvant très belle, ce qui n’était pas faux, Lucie passait de longs moments à se regarder dedans, qu’elle soit nue ou habillée. Lorsqu’elle m’a quitté, je ne me suis pas résolu à me débarrasser de cet objet qui m’avait coûté une somme conséquente. Mais étant donné que pour ma part, je n’ai besoin ...

... de me voir que lorsque je me rase, je l’ai remisé à cet endroit.

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Cependant, à présent, cet objet va trouver une nouvelle utilité, puisqu’une fois que nous sommes sur place, tout en refermant le rideau coulissant, je dis à Alice sur un ton directif :

— Enfile tes pompes de baiseuse, attache tes cheveux en queue-de-cheval, mets-toi à quatre pattes face à la glace, et ne te quitte plus des yeux !

Comprenant ce qui va se passer, mon petit bout de femme devient rouge comme une pivoine, cependant, elle ne proteste pas et elle se dépêche de m’obéir, tandis que je vais tranquillement ouvrir les deux portes-fenêtres, ce qui crée un léger courant d’air. Lorsque c’est fait, je prends le temps de regarder mon amante, et dans cette position, et alors que sa lourde poitrine pend à la verticale, je la trouve tout simplement magnifique. Quant à elle, elle joue parfaitement le jeu de la docilité, puisqu’elle est en train de se fixer à travers le miroir, sans bouger une oreille.

Je vais alors me placer à côté d’elle, et tandis qu’elle tourne la tête en la levant pour regarder ma queue toujours bandée, je lui fais :

— Ton attitude est la bonne, mais pour qu’elle soit parfaite, tu dois écarter encore plus les cuisses et cambrer les reins, comme une bonne femelle prête à faire prendre pas son mâle en rut.

Alors que son beau visage avait retrouvé une teinte à peu près normale, Alice s’empourpre à nouveau, mais elle rectifie immédiatement sa posture comme je le lui ai ...