Evolutions (10) - Histoires de Sexe

Evolutions (10)

ÉVOLUTION

Avis aux lecteurs : Le texte qui suit est sorti de mon imagination fantasmatique. Toute ressemblance avec des faits réels et (ou) des personnes existantes ne serait que pure coïncidence.

Chapitre 10 : Jeu de miroir.

Alice vient nous rejoindre, mais plus tranquillement en nageant la brasse, et étant donné qu’elle m’a entendu, elle dément mon affirmation :

— Léo et Léa n’ont pas à ma connaissance de petit-copain, mais je n’y suis pour rien. Et quel que soit l’âge, la race ou la religion de celui ou celle que chacune d’entre elles se choisira, tout comme mes parents l’on fait avec moi, je respecterai leur décision.

Mon amante nous a dit cela sans rougir et sur un ton moins haché que celui de Henry, ce qui démontre qu’elle a su mieux que lui gérer son effort. Et tandis que mon fils me lance un regard gourmand, je lui fais :

— Elle a dit qu’elle laissera ses filles choisir, mais ce ne sera pas mon cas en ce qui te concerne.

— Je te rappelle que je suis majeur, Papa.

— Peut-être, mais moi je suis ton père. Alors si tu ne veux pas que je te déshérite, tu feras ce que je te dis.

Il n’insiste pas, et je me lève pour aider Alice à sortir de la piscine. Elle me remercie d’un sourire, avant de défaire sa coiffure et de passer son élastique autour de son fin poignet. Nue et ruisselante avec sa chevelure d’ébène pendant librement, je la trouve magnifique, par conséquent et bien que mon corps ait eu le temps de sécher au soleil, je la prends dans mes ...

... bras. D’un élan commun, nous ne tardons pas à nous embrasser à pleine bouche, sans nous soucier de la présence de mon fils. Ce dernier nous dit, sur un ton faussement embarrassé :

— Bon ben, moi je vais y aller avant que ça devienne trop chaud. Elles sont où les clefs de ta bagnole, Pa ?

J’interromps notre baiser, alors mon petit bout de femme est devenu rouge jusqu’aux oreilles, et je réponds à Henry :

— À leur place, dans le meuble mural qui est dans l’entrée. Mais n’oublie pas d’en détacher celles de la maison avant de les prendre.

₪₪₪

Henry va ensuite dans l’abri de jardin chercher une serviette éponge, puis il se dirige vers la villa en commençant par se sécher, tandis que mon amante et moi reprenons là où nous en étions restés. Cette fois, je pose carrément mes mains sur ses fesses, et tandis que je commence à les caresser, nous échangeons un deuxième baiser tout aussi fougueux. Nous nous interrompons à nouveau quelques instants, lorsque mon fils nous lance un :

— Salut les amoureux !

Je lui réponds distraitement, mais en élevant la voix, pour être sûr qu’il m’entende :

— La prochaine fois, téléphone avant de venir !

— Oui Pa !

Puis il disparaît à l’intérieur. Nous recommençons à nous embrasser pendant un bon moment, comme des adolescents, en ne nous arrêtant que le temps de respirer. Le bruit du moteur de ma Challenger ne nous interrompt pas, et c’est à ce moment qu’Alice se décide à placer ses mains sur mon postérieur, alors qu’avant, elle ...