Ma première fois
Datte: 14/06/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
oncletante,
grosseins,
vacances,
plage,
pénétratio,
init,
inithf,
Auteur: GillesP, Source: Revebebe
... toujours peur que leur fils n’aime pas les femmes.
— Ah bon ? Mais pourquoi dit-elle ça ?
— Je ne sais pas, elle ne t’a jamais vu avec des filles. Elle doit s’imaginer des choses. Moi j’ai bien vu que tu n’avais pas les yeux dans la poche. Tu as toujours eu beaucoup d’imagination, tu seras un bon amant !
— Mais je suis trop timide pour ça…
La tante se servit un deuxième verre de Marie Brizard non sans m’en avoir proposé. J’avais perdu sa main sur ma jambe qui m’avait fait belle impression. Ma gorge se nouait, je me suis levé pour aller remplir mon verre d’eau une deuxième fois puis me suis assis à nouveau à la même place, c’est à dire au bout de la table de la cuisine non loin de sa chaise elle aussi en bout de table. Une fois assis, j’ai vu que l’ouverture de sa robe de chambre était devenue béante aussi bien en haut, dévoilant une partie de sa poitrine qu’en bas, dévoilant assez haut ses jambes. Je n’en voyais pas plus qu’à la plage et à tout réfléchir plutôt moins mais l’érotisme n’est pas dans la quantité et le suggéré était là. Ses jambes croisées laissaient son genou supérieur imprimer un mouvement à sa jambe… Son regard n’était plus tout à fait le même, il laissait deviner de la buée, des vapeurs de Marie Brizard et je crois bien du désir.
Elle ajouta :
— Tu aimes regarder ?
— Oui…
— Moi aussi tu sais. Je suis très curieuse. Tu m’as gâtée l’autre jour à la plage. Tu as l’air d’avoir ce qu’il faut pour tes futures copines. Elles vont se régaler.
— Mais ...
... je n’ose pas, j’ai toujours peur…
— Tu vois bien quand tu plais à une femme non ? Il faut oser !
— J’ai toujours peur qu’elles me jugent et se moquent de moi.
— Tu es joli garçon tu ne dois pas avoir peur, mais pour l’heure on va aller se coucher, il se fait tard.
L’inexpérience, la timidité, la peur m’empêchèrent de prendre les devants. Mais quels devants prendre ? Et puis la situation si elle était troublante ne provoquait plus l’effet que ma tante m’avait fait sur la plage. Des idées noires me traversaient la tête : si je ne parvenais pas à bander ? Me parlait-elle de ses envies ou des envies en général ? Perdu dans pensée je la vis finir son verre d’un trait, puis se lever et se diriger vers la porte de la cuisine.
— Allez je file. Tu ne vas pas te coucher ?
Me levant dépité, je passe près d’elle, elle ferme la lumière, met la main sur mon épaule et me tend la joue dans la pénombre éclairée par une petite lampe trônant au fond du couloir. Elle ponctue la bise par un « bonne nuit, beau jeune homme ». Ma joue s’appuie sur la sienne et reste curieusement collée, elle retire sa joue et appuie sa bouche sur mon autre joue sans la retirer. Sa poitrine vient s’amarrer doucement à mon torse et bientôt mon sexe gagnant en assurance s’appuie contre son ventre. Son baiser aux effluves de Marie Brizard se transforme en chuchotement :
— Tu ne diras rien ?
— Non… et toi rien à ma mère ?
— Petit salaud !
Sa main agrippe ma verge ou plutôt la bosse que fait ma verge… ...