Ma première fois
Datte: 14/06/2020,
Catégories:
fh,
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vacances,
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pénétratio,
init,
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Auteur: GillesP, Source: Revebebe
... que j’avais vus en cachette pour certains et ma cousine Stéphanie comme sa mère présentaient les même voluptueuses courbes sur le bas de leur cou que les actrices que j’avais admirées dans ces films.
Pour être complet dans la description de ma relation avec ma cousine, il me faudrait encore préciser, une confession qui me laisse un sourire amusé aujourd’hui mais qui me culpabilisait de façon excessive à l’époque tant j’étais marqué au fer rouge par l’éducation maternelle. La confession que je dois au récit, c’est qu’à dix-huit ans, je passais tout juste du stade des masturbations avec pour modèle les actrices des films sus cités, aux masturbations avec pour modèle quelques amies de ma mère et justement ma cousine Stéphanie, cela bien entendu dans le plus profond des secrets.
Il me faut encore ajouter dans l’appréciation du sens des phrases anodines de ma tante, une autre information. Pour la première fois, quelques jours avant ce 14 juillet 1978, anagramme du fameux 14 juillet 1789, j’avais osé regarder une femme dans les yeux en éprouvant un désir et cette femme n’était autre que la mère de Stéphanie, ma tante Catherine, celle-là même avec qui j’entamais une conversation sur le coup des deux heures du matin. Comment les choses s’étaient-elles présentées ? De façon fort sage avec le recul, mais ô combien érotiques pour le gamin que j’étais avec son peu d’expérience.
Ma mère et elle discutaient sur la plage ou plus exactement allongées dans de petites marmites ...
... d’eau, témoins éphémères de la marée descendante. Ces marmites étaient gorgées d’eau chaude dans lesquelles les deux quadragénaires allongeaient leurs formes pas encore quinquagénaires en discutant face à face et donc couchées sur le ventre. J’étais allongé à côté de ma mère qui était engoncée dans un maillot de bain noir une pièce, probablement conseillé par le Vatican ou à défaut le vicaire de la paroisse que je voyais au moins une fois par semaine rendre visite à mes parents. Je pouvais contempler la poitrine généreuse de ma tante face à moi. Bien sûr, son anatomie était masquée par le soutien-gorge vert bouteille de son maillot de bain, mais celui-ci était tout à fait pigeonnant vu qu’elle suivait les saintes écritures avec beaucoup plus de distance que sa belle-sœur.
Je pouvais donc me délecter du spectacle qu’elle m’offrait aussi discrètement que ma timidité de l’époque me le permettait. Ajoutons à cela que la tante relevait périodiquement ses orteils à la verticale de ses fesses afin de s’asperger d’eau et je pouvais remarquer la contraction périodique de ses fesses, ce qui à un ou deux mètres de moi constituait presque ce qu’on n’appelait pas encore un peep show. Ce délicieux manège avait définitivement achevé de prononcer mon impossibilité à me relever pour les suivre à la baignade quand elles décidèrent de quitter leur flaque pour rejoindre un des chenaux si caractéristiques du bassin à marée basse. Quand elles revinrent, j’étais toujours cloué au sol, atteint de ...