1. Nuit d'hôtel


    Datte: 14/06/2020, Catégories: grp, inconnu, piscine, hotel, caférestau, anniversai, Oral double, hdanus, champagne, scato, Humour extraconj, hff, Auteur: Rapiere, Source: Revebebe

    ... fis tomber ma serviette, comme dans tout bon polar, et je pus voir sous la table dans la pénombre que la jolie blonde (la plus jeune des deux) avait rapidement ouvert la braguette de mon ami et le branlait lentement. Du fait de la faible lueur des lampes et de l’état de leurs compagnons, les seuls qui pouvaient s’en apercevoir n’avaient rien contre d’autant qu’à son tour ma voisine faisait descendre la fermeture de mon pantalon et dégageait mon sexe déjà excité.
    
    Putain, elle alla me branler à mon tour. La situation devenait complètement épicurienne entre la poire et le fromage. La jouissance complète : la bonne bouffe et de belles nanas ! L’arrivée de ces fromages et d’une autre bouteille de rouge fit cesser les assauts conjugués des mains très expertes. Les Allemands se ruèrent sur le plateau, affamés comme s’ils n’avaient pas mangé depuis six mois. Leurs amies se contentèrent de grignoter, impatientes de continuer leurs petits jeux pervers. C’était génial, pouvoir se faire branler en mangeant un bon Roquefort ou un Pyrénées et en buvant un vieux Cahors ; c’est un souvenir inoubliable et je ne me rappelais pas avoir vécu pareille aventure au cours de mes troisièmes mi-temps ! L’arrivée des crèmes desserts correspondit à l’explosion de foutre de ma bite et, en voyant Manu, à la même conséquence pour lui : une explosion de bonheur. Heureusement qu’il avait une serviette pour recevoir tout le flot.
    
    Je glissai un merci à l’oreille de ma voisine. Elle me sourit, somme ...
    ... toute elle aussi heureuse de la palpation intime. Nos amis allemands qui semblaient en dehors de tout cela se ruèrent sur la crème et sur la bouteille de champagne qui devait rafraîchir le tout. En tout cas, si le moment avait été divin, l’addition pourrait être plus salée que le goût de mon sperme ! Enfin, tant pis, tant mieux, il fallait jouir de l’instant présent.
    
    Alors les mâles allemands, heureux, repus, se mirent à crier :
    
    — La France !
    
    Ils entonnèrent des chants gutturaux repris en chœur par les femmes et nous répondîmes en alternance par des chansons de garde de troisième mi-temps. Le patron vint nous dire de la mettre en sourdine car il commençait à se faire tard et des clients dormaient. Pour nous amadouer, il venait avec à la main un vieil armagnac et des verres ballons.
    
    Cela finit d’achever les deux hommes qui, rassasiés, un peu saouls et fatigués du voyage s’endormirent dans la pénombre du parc maintenant déserté. Les filles qui s’étaient contentées d’une larme d’armagnac se tournèrent vers nous et nous roulèrent un énorme patin. Chacun le rendit et les baisers se multiplièrent et les mains s’égarèrent sous les chemises allant à la rencontre des soutiens-gorge. Je fis sauter celui de mon amie, après avoir enlevé sa chemise et Manu fit de même. Elles apparurent enfin seins nus et l’on n’avait plus à deviner que, malgré les ans et les maternités les poitrines restaient bien dressées, rondes, pleines sans être trop fortes et les ventres bien plats. Elles se ...
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