Nuit d'hôtel - Histoires de Sexe

Nuit d'hôtel

... leur tour, ce fut la première suceuse, la plus ou moins plus blonde et plus jeune qui me finit, tandis que le même doigt inconnu flirtait autour de mon anus. Je déchargeai en un geyser abondant et incessant (il faut bien se vanter un peu). Elle avala tout mon jus et le partagea avec son amie. Tandis que cette dernière nettoyait ma bite à coups de langue, l’autre me proposa par un baiser de me faire goûter. Je l’avais déjà fait, je n’en eus pas envie.

Après m’avoir bien épongé, elles se relevèrent, me remercièrent d’un petit merci en français et me laissèrent seul, heureux mais un peu décontenancé. La douche que je pris fut plus que salvatrice et j’espérais bien que cette partie serait suivie de lendemain.

§§§

— Alors tu t’es bien fait rincer, mon salaud !

Je rejoignais Manu qui m’accueillit par ces mots à la table du restaurant dans le parc. Je restai interloqué !

— J’ai tout entendu, je suis dans la chambre voisine de la tienne. T’as jamais été discret quand tu prends ton pied !

Rappel de quelques souvenirs de baise collective dans notre jeunesse, parfois avec la même salope !

— Alors, dis-moi c’était avec qui ? Putain j’ai failli m’astiquer le dard tout seul.

Ça aussi c’est un truc qu’il avait pratiqué en public mais enfin, bourré, ça excuse tout !

J’allai lui répondre quand toutes les familles teutonnes dont mes deux suceuses arrivèrent à la table voisine.

— Plus tard, je te dirai plus tard, dis-je en sourdine.

Il chuchota à son tour :

— ...

... Tu as baisé une Allemande ?
— Non, pas une, deux, tout en faisant le signe numéral avec les doigts.

Mais vite je transformai le signe en cinq, car toute la communauté germanique paraissait regarder mes mains : les deux femmes, les maris et les enfants.

— Oui 5, 5 essais : ce putain de match que l’on a gagné contre ces enflures de Montravel-sur-Lampion. La branlée qu’on leur avait mis ! Tu te rappelles ?

Il resta un peu interloqué, mais il joua rapidement le jeu. Il comprit que nos voisins nous regardaient. Il y avait là, près de notre table, toute la famille allemande : les deux femmes, les hommes et les enfants. Tout souriants, tournés vers nous. Mais j’avais le sentiment que le sourire des femmes était bien sûr d’un autre genre que celui de leurs hommes. Tout en feignant un air innocent, je répondis à leurs sourires avec les énormes sous-entendus imaginables. Alors que, plus je trouvais agréables ces femmes plus, bien entendu, je trouvais gros et vulgaires leurs mecs.

C’est vrai que malgré leurs âges entre 35 et 40 ans, elles avaient conservé une ligne de corps relativement jeune, leurs mini-shorts ne cachaient rien de leurs longues jambes brunes et musclées et sous la chemisette on pouvait espérer, sans trop se tromper, des rondeurs appétissantes sans être trop importantes. Je n’avais pas eu l’occasion de les voir nues mais elles paraissaient taillées comme des athlètes en faisant penser à des sauteuses en hauteur des pays nordiques : blondes et mignonnes. De ...