1. Nuit d'hôtel


    Datte: 14/06/2020, Catégories: grp, inconnu, piscine, hotel, caférestau, anniversai, Oral double, hdanus, champagne, scato, Humour extraconj, hff, Auteur: Rapiere, Source: Revebebe

    ... changer. Manu en fit de même. Comme je montais l’escalier avant mon ami, parti chercher sa valise, j’entendis des voix féminines dans l’escalier. Elles parlaient allemand. Sur le palier je vis deux des femmes qui étaient auparavant en bas avec leurs gros teutons. C’est vrai qu’en short et malgré les années, il se dégageait de ses blondes germaniques un charme certain. Elles avaient les jambes brunies et, sous leurs tee-shirts, on devinait des formes bien arrondies et susceptibles d’attirer un homme de bonne qualité !
    
    J’osai un clin d’œil et les dévisageai effrontément. Elles, au lieu de rougir ou de s’offusquer, rirent de mes mimiques et me dévisagèrent à leur tour. Je crus paraître à leur goût. Alors je lançai une attaque en règle : les bras autour de leurs tailles, un sourire et un « Come, with me ? » plus britannique que Berlinois. Je pensais me faire remballer sans plus, voire prendre une baffe mais, étant un peu saoul, je n’avais peur de rien. Pas du tout ! Tout en gloussant, elles me suivirent dans ma chambre.
    
    À peine eus-je refermé la porte, qu’une me sauta au cou et m’embrassa sur la bouche, tandis que son amie dégrafait la ceinture de mon pantalon. Bon sang, les salopes ! Je m’écartai un peu pour la laisser faire et tandis qu’elle continuait de me déshabiller, son amie se mit à lui rouler un palot d’enfer. Putain, chaudes et lesbiennes, il n’en fallait pas plus pour que ma bite jaillisse raide du slip qu’elles avaient baissé. Sans s’occuper maintenant de moi ...
    ... elles s’embrassèrent et se caressèrent les seins à travers le tissu. Je commençais à bander à en avoir mal :
    
    — Et moi, alors !
    
    Elles rirent et me poussèrent sur le lit. Je les laissai obligeamment faire et me retrouvai couché, l’étendard bien levé. La plus blonde des deux, encore que, enfin peut-être, la plus jeune, se mit à lécher ma bite, sous le regard de son amie, puis à l’enfourner. Elle suça un peu, elle paraissait douée, puis embrassant sa camarade sur la bouche, elle en partagea le goût.
    
    Elles dirent ce que je crois être tout leurs contentement dans la langue de Goethe (pour les ignares, on peut être rugbyman et avoir des lettres !). Puis l’autre, enfin la moins blonde ou la plus vieille, vint rejoindre son amie pour le festin de ma bite. À tour de rôle elles en embrassèrent le bout, puis l’enfournèrent encore, puis de nouveau se roulèrent un patin. En même temps, elles me flattèrent avec douceur les couilles, les englobant aussi de leurs bouches et les baisant. Puis tout en continuant le même jeu, l’une d’elles s’approcha de mes fesses et commença à me caresser le tour de mon anus d’un doigt. La coquine, elle avait deviné un de mes points faibles. Même si je ne suis pas homo, j’aime que l’on s’occupe de ce coin-là ! Elles sucèrent encore, avec toujours le même processus. (Elles suçaient bien !)
    
    Puis vint le moment où je sentis que j’allais exploser, je tentai de leur faire comprendre par un gémissement. Elles me sourirent et, s’étant regardées chacune à ...
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