1. La Vie de Solange, ou les mémoires de la Comtesse de *** (3)


    Datte: 13/06/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Mir, Source: Xstory

    ... lorsque le Vicomte répéta à nouveau sa litanie sur l’année de crédit. L’autre le besognait sans merci, je voyais son dard accompagné de ses doigts foutre vigoureusement l’anus distendu de mon frère, qui criait et geignait en continu, à moitié bâillonné par le dard du Vicomte.
    
    Piètre individu, pris au propre piège de sa perversité, de son égoïsme et de sa cupidité. Il laisserait sans hésiter l’autre le déchirer pour obtenir plus d’argent et de considération : un petit baron aimait à se flatter de l’amitié d’un vicomte. Je ne pouvais toutefois m’empêcher de ressentir quelque pitié pour lui : il avait le goût des femmes, mais aussi des hommes. L’Eglise brûlait ceux qui laissaient cours à ce penchant, qui ne blessait pourtant que la morale de mon siècle. Mais mon frère, faux libertin, n’avait pris sa liberté qu’en écrasant les autres autour de lui, ou en se laissant oppresser à son tour.
    
    Je me lavai sommairement à une cuvette que mon frère avait préparée et remis mes habits normaux. Le Vicomte me lança un vague remerciement et m’autorisa à partir.
    
    Lorsque je quittai la masure dans la nuit, les cris et gémissements me suivirent longtemps, jusqu’à ce que je me misse à courir. J’arrivai finalement au château où j’entrai discrètement et me couchai, épuisée, pour dormir quelques heures avant que la servante ne vînt m’éveiller.
    
    Plus que trois jours avant mon mariage.
    
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    Le lendemain, il me fut difficile de me trouver ...
    ... seule avec mon cousin : les préparatifs du mariage me rattrapaient, la robe à ajuster, la cérémonie à préparer, ma gouvernante qui ne me quittait pas comme si une catastrophe pouvait m’arriver dans les quelques jours qui allaient enfin la libérer de ses responsabilités à mon égard.
    
    Toutefois, je parvins à voler un instant dans notre réduit, où je lui chuchotai de me prendre de toutes les façons que nous connaissions. Il m’agenouilla sans un mot et me vergea la bouche. Puis, n’ayant pas déchargé, il m’enconna sauvagement, me plaquant contre le mur. Je haletais en me concentrant sur ses gestes, tâchant d’oublier ceux de la nuit précédente. Il gicla dans mon con avant de rapidement me sodomiser, la queue encore bandée, jusqu’à me faire jouir.
    
    Nous n’eûmes pas le temps pour nos habituels gestes de tendresse : il me fallait retrouver ma gouvernante.
    
    Au cours de la journée, je croisai mon frère, dont les yeux cernés et la démarche claudicante intriguaient la maisonnée. Il prétendit s’être cogné la cheville dans la soirée, ce qui l’avait empêché de bien dormir ; je me mordis les lèvres et tâchai d’accrocher son regard, qu’il détournait. Moi seule savais ce qu’il en était, mon frère m’avait livré à d’autres et en récompense avait dû se faire catin, livrant à son tour son œillet et sa bouche à ses prétendus amis. J’appréciai grandement l’ironie de l’aventure.
    
    Les jours suivants, tout le domaine semblait s’apprêter pour mon mariage. Il était prévu que la cérémonie se fasse sur ...
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