La Vie de Solange, ou les mémoires de la Comtesse de *** (3)
Datte: 13/06/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Mir, Source: Xstory
... resserrant parfois mon sexe sur leur vit pour les faire venir plus vite.
Après environ trois heures passées ainsi, l’un d’eux finit par interpeller mon frère :
- Et vous, Baron, allez-vous vous contenter d’observer ? Cette gueuse n’est pas entièrement de votre sang, dit-on, il n’y aurait pas de mal à la prendre.
Mon frère rit et plaisanta, refusant. Mais les autres firent chorus, s’excitant mutuellement, l’alcool aidant à leur enthousiasme, jusqu’à ce que le Vicomte, son principal créditeur, insistât.
- Baron, si vous ne la prenez pas comme nous, je serai fort fâché. Notre arrangement tient toujours et votre dette est acquittée, mais vous perdrez mon amitié. Une nuit virile doit être partagée par tous : l’abstinent n’est pas un compagnon mais un couard. A moins que vous n’ayez peine à durcir...
Mon frère resta silencieux, puis répondit enfin.
- Messieurs, l’idée d’enconner une telle catin ne saurait être que tentante, mais songez tout de même que le sang flétri de ma mère est aussi le sien. Imaginez que mon foutre l’engrosse !
- Mon ami, en ce cas, foutez-la sans l’engrosser… Nous savons quelles sont vos préférences dans ce domaine.
Mon frère sembla prendre sa résolution. Il me détacha du lit, me tourna sur le ventre et me lia à nouveau pieds et mains. Je chuchotai, paniquée :
- Mon frère, vous n’allez tout de même pas… Même si vous vous retirez, vous risquez de décharger avant, et vous l’avez dit vous-même, il ne faut surtout pas que vous ...
... m’engrossiez !
Serrant les dents, il m’intima de me taire.
Je l’entendis se débrailler ; ensuite un bruit régulier m’indiqua qu’il s’arsonnait vigoureusement. Il finit par s’allonger entre mes jambes. Je ne savais plus que faire, que dire. J’avais accepté de me soumettre à mon frère, mais pas de cette façon. Mais si je refusais, rien ne l’empêcherait de rompre notre entente et de révéler mon secret à nos parents ou à mon futur époux. Je me résignai donc.
Il posa sa verge bandée sur mes fesses. Je compris alors comment il comptait ne pas m’engrosser… Sans précaution, il appuya sur mon œillet. Malgré mes efforts pour me détendre et faciliter sa pénétration, mon corps résistait. Il finit par pousser vigoureusement, forçant douloureusement son chemin. Je criai, jusqu’à ce qu’il soit entièrement en moi. Sans attendre, il s’activa alors, me sodomisant sans merci. Je geignais, chuchotant par moment qu’il était indigne de ses actes.
Sans cesser de s’activer, il murmura à mon oreille : « Vous ne vous êtes jamais demandé, vous qui m’avez tant observé, pourquoi les filles que je prenais avaient vos cheveux, ou votre forme de visage, ou votre silhouette ? Combien de fois vous ai-je soumise, ma catin de sœur, et besognée ou pédiquée ? Des dizaines, des centaines, chaque fille que j’ai prise assouvissait mon désir de vous forcer. Mais cette fois, c’est vous, vraiment vous qui vous soumettez à moi. »
Je me tus alors, me contentant désormais de haleter sous ses pénétrations.
Les ...