1. La Vie de Solange, ou les mémoires de la Comtesse de *** (3)


    Datte: 13/06/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Mir, Source: Xstory

    ... autres riaient, encourageant mon frère, et faisant des allusions à son goût pour la sodomie laissant entendre qu’il n’avait pas eu que des filles sous lui.
    
    Un déséquilibre du matelas m’indiqua que l’un d’eux venait de nous rejoindre. Mon frère fut brusquement poussé, il s’abattit sur moi, son dard toujours fiché dans mon fondement. J’entendis la voix du Vicomte.
    
    - Et bien Baron, c’est le moment de réaliser tous nos plaisirs… Ne bougez pas et outre l’effacement de vos dettes, je vous promets crédit pour toute l’année à venir.
    
    Mon frère resta immobile. Je sentis alors un poids supplémentaire m’écraser davantage sur le matelas, tandis que mon frère gémissait. Le poids s’allégea, puis revient, repartit, revint. Quelqu’un s’activait au-dessus de nous. Tournant la tête, je tentai de comprendre ce qui arrivait, mais ma robe et les draps me cachaient la scène. Je compris lorsque j’entendis à nouveau le Vicomte.
    
    - Foutre-dieu, Baron, votre croupe vaut bien celle d’une fille, vous allez me faire venir trop vite !
    
    Mon frère continuait à gémir ; étrangement je ne reconnaissais aucune souffrance dans ce bruit. Il recommença même à me sodomiser, tandis que le Vicomte le besognait. Curieusement, savoir ce qui arrivait m’excita : tandis que les trois verges qui m’avaient prise toute la nuit n’avaient provoqué qu’indifférence, cette double sodomie réveillait mes sens. Je me mis à bouger mon bassin pour approfondir la pénétration.
    
    Les autres s’en aperçurent.
    
    - Mordieu, ...
    ... la bâtarde aime ça ! Vicomte, l’entendez-vous gémir ?
    
    L’un d’eux vint me présenter sa verge dressée. Sans réfléchir, je la léchai, comme me l’avait appris mon cousin. Toutefois l’ami de mon frère n’appréciait guère la délicatesse, il empoigna ma tête et força sauvagement mes lèvres. Il besogna ma bouche sans ménagement, tandis que son compagnon avait détaché une de mes mains qu’il utilisait pour se polir le dard.
    
    Je reçus sans plaisir leurs foutres, dans ma main et sur mon visage, mais lorsque le vit de mon frère se contracta et m’inonda le fondement, je ne pus retenir de longs gémissements : la sodomie m’évoquait trop mon cher cousin.
    
    Toutefois, le Vicomte n’en avait pas fini avec mon frère, désormais passif et inerte : il le sabrait toujours avec vigueur. Je profitai de la situation pour me dégager doucement. Ma main libre me permit de me détacher complètement ; désormais les trois hommes ne s’intéressaient plus qu’à l’anus de mon frère et sa bouche.
    
    Il avait pris ma place sur le lit. Le Vicomte s’était désormais placé dans sa bouche, l’obligeant à sucer son vit débandé, tandis qu’un autre l’avait remplacé dans le fondement de mon frère. Ce dernier essayait de le repousser, en vain. Le Vicomte répétait d’une voix avinée qu’il devait rester bien tranquille pour obtenir crédit. L’homme qui sodomisait mon frère lui inséra ses doigts dans le fondement en même temps. Mon frère cria, malgré la verge du Vicomte qui le bâillonnait. Il finit par renoncer à se débattre ...
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