1. La Vie de Solange, ou les mémoires de la Comtesse de *** (3)


    Datte: 13/06/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Mir, Source: Xstory

    ... notre réduit obscur, où ensuite je le suppliai de me sodomiser.
    
    Sous mon lit car nous avions commencé sur le tapis mais qu’une servante était entrée dans ma chambre. Mon cousin avait roulé avec moi sous le meuble, les draps nous cachant, et n’avait pas cessé de me besogner tandis que j’étais sur le ventre ; je m’étais à grand peine retenue de gémir, même lorsqu’il s’était immobilisé par crainte du bruit produit par son vit dans mon con. Il avait cette fois joui avec tant de force que même après m’être relevée et soigneusement essuyée, son foutre avait continué à couler sur mes cuisses pendant de longues minutes.
    
    Je m’offrais à chaque fois à lui avec le même plaisir, celui de sentir son désir exigeant me posséder, celui de sentir son foutre me remplir, celui de m’abandonner totalement à lui.
    
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    Quatre jours après que mon frère nous eut surpris vint le moment de me soumettre à ses créditeurs.
    
    Il avait choisi une masure à la lisière du domaine. Elle était éloignée de toute habitation, il m’avait dit en ricanant que je pourrais gémir et crier tout mon saoul sans risque d’être reconnue. La maison, sommaire, était abandonnée depuis longtemps. Il y avait fait porter un lit, un matelas et quelques meubles, mais le confort n’était pas une priorité : il fallait juste que ses hôtes soient en mesure de me foutre à leur guise.
    
    Mon frère m’avait emmenée à l’avance et m’avait fourni des habits de catin. Une robe écarlate ...
    ... dévoilant le haut de ma gorge et fendue sur le côté pour permettre d’être troussée dans difficulté, un seul jupon, des dessous d’un type dont j’ignorais l’existence : ils permettaient d’enconner ou de sodomiser par des ouvertures sans les ôter. Je m’étais donc vêtue.
    
    Il me fit allonger sur le lit et me lia poignets et chevilles aux montants. Effrayée, je voulus tout d’abord l’en empêcher, mais il se montra intraitable : c’était ce que désiraient ses amis, c’était ce qu’ils auraient.
    
    Je restai allongée ainsi une heure, jusqu’à ce que les créditeurs arrivent, fort joyeux, ayant manifestement beaucoup bu et apportant avec eux plusieurs bouteilles de vin. Ils commencèrent à boire avec mon frère avant de s’occuper de moi.
    
    Cette nuit fut bien longue.
    
    Allongée, mains et pieds attachés aux coins du lit, mon corps s’offrait à tous. Mon frère m’avait laissé mes habits ; ses invités s’amusaient à ouvrir brutalement mon corsage, à en sortir mes seins en les pressurant car les lacets mal ôtés compressaient encore ma gorge. Ils prenaient aussi grand plaisir à relever ma robe sur ma tête et déchirer mon jupon avant de me prendre.
    
    Ils me possédèrent tous, un par un, me besognant violemment, cruel contraste avec la douceur de mon cousin. Ils n’étaient que trois mais semblaient dix : chacun reprenant vigueur tandis que les autres m’enconnaient, ils se relayaient entre mes jambes. Chacun venait en ahanant, me traitant de catin, de garce, griffant mes seins. J’acceptai tout sans un mot, ...
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