1. Un merveilleux don


    Datte: 08/06/2020, Catégories: bizarre, Oral Humour fantastiqu, fantastiq, Auteur: Hidden Side, Source: Revebebe

    ... votre épouse !
    — Soyez gentils, maintenant. Partez ! Sinon je vais appeler la police…
    — Vous ne me croyez pas ? Laissez-moi vous montrer !
    
    Avant que je ne puisse répliquer, il se pencha sur ma femme toujours endormie. Passant les mains dans son chemisier, ce nabot lubrique empoigna le bout de ses seins et tira sans ménagement. Au lieu d’un cri de douleur surpris, Sophie émit un long soupir. Ouvrant les yeux, elle contempla la trogne velue du gnome, puis, d’une voix suave, prononça une phrase que je ne suis pas prés d’oublier :
    
    — Voyons, c’est pas sérieux… Il faut encore que je te suce ?
    
    L’autre défit sa braguette pour en sortit un missile déjà en position de tir. Sans faire cas de ma présence, mon épouse s’empara de ce gourdin qu’elle commença à lécher avec application…
    
    — Sophie ! Mais comment peux-tu… ! ? m’étranglai-je en la regardant emboucher cette pine violacée, qu’elle fit bientôt coulisser dans sa gorge.
    
    J’étais médusé, foudroyé, anéanti… À quoi jouait-elle ? Comment pouvait-elle se taper ce macaque contrefait ! Était-elle l’instigatrice de ce scénario pervers ? Je lui en voulais encore plus qu’à ce sale con !
    
    Je ne suis pas un violent, mais là, il allait falloir que je frappe quelqu’un ! D’abord cet enfoiré, ensuite ma femme… À peine avais-je esquissé un pas vers eux que Konstantinos agitait la main tout en baragouinant une incantation : je me retrouvai aussitôt incapable de bouger. Impossible, et pourtant c’était bien en train d’arriver ! Je ne ...
    ... pouvais plus faire le moindre geste !
    
    Le nabot m’adressa un clin d’œil avant de tourner son attention vers Sophie, caressant son abondante chevelure blonde tandis qu’elle le suçait. Plaquant ses mains difformes sur ses oreilles, il entreprit alors de lui baiser violemment la bouche. Ma femme tentait de l’avaler le plus loin possible, se contorsionnant pour lui ouvrir grand le passage. Et dire que cette salope prétendait ne pas aimer la fellation !
    
    Impuissant à détourner le regard, j’étais obligé d’assister à leur manège lubrique. Durant une éternité ce ne fut plus que grognements gutturaux et bruits de succion. Jusqu’à ce que, disparaissant tout entier dans la bouche de mon épouse, Konstantinos se raidisse, et décharge son foutre avec un rire sardonique. Docile, Sophie avalait de son mieux les épaisses giclées du gnome.
    
    La scène de stupre se mua soudain en une vision d’horreur. Ma moitié, qui visiblement ne se rendait compte de rien, était en train de se transformer en une chose indicible ! Des marbrures sombres constellaient son visage, son torse, tout son corps. Sa peau noircissait, se couvrait d’un lichen dru et gras, son épiderme velouté se crevassait en un réseau de ravines évoquant le cuir racorni d’un vieux phacochère. Sous mes yeux exorbités, un séisme de chair et d’os saccageait ses traits, transmutant sa bouche et son nez en un museau grotesque. Comme vidés de leur substance, ses seins ratatinés pendouillaient sur un torse squelettique.
    
    Une créature à tête ...
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