Le vieux qui lisait des histoires érotiques les yeux clos
Datte: 30/05/2020,
Catégories:
h,
fh,
hplusag,
couple,
enceinte,
bizarre,
jardin,
revede,
Masturbation
pénétratio,
attache,
délire,
Humour
Auteur: Olaf, Source: Revebebe
... comment Louisa s’est jouée de cette difficulté. Elle me dit simplement de sa voix sensuelle que quelque chose nous liait depuis longtemps et qu’il lui avait suffi de tirer sur le fil.
Et pourquoi tirer sur un fil qui mène à un tel déchet ? Parce que j’aurais la peau douce, et puis des mains… Je ne sais pas trop bien quoi avec mes mains, mais un truc suffisamment motivant pour aller glander du côté du 10ème arrondissement. Même si c’est un coin très peu recommandable pour une femme de sa qualité, confirme-t-elle dans un éclat de rire.
Ce rire bouscule quelque chose en moi. Ce rire et la caresse très particulière qui l’accompagne. Un truc en or, qu’aucune femme ne m’a jamais fait avant elle. Du genre « J’ai envie de jouir de vous à l’instant, et ce n’est pas négociable ! »
Bon, il y a encore tout ce que je vois dans ses yeux au même moment. Et aussi ce que je sens sur sa peau. Et ce que j’imagine dans son cœur. Parce que pour monter dans ma piaule borgne, vu l’état dans lequel je suis, il faut avoir le cœur bien accroché. Et bien plus encore pour s’allonger tout contre moi. Puis me déshabiller. Puis m’offrir sa peau. Puis calmer les battements de mon cœur en délire, et l’explosion de mon esprit qui ne sait plus comment, et qui panique pour un rien. Un rien comme ce téton qu’elle glisse entre mes lèvres. Un rien comme ces doigts qu’elle glisse un peu partout. Juste parce que ça l’amuse de sentir contre son ventre comment je réagis à la surprise intime.
Après, on ...
... arrive à se calmer un peu – même si on n’a pas grimpé très haut aux rideaux, d’ailleurs tachés, et qui sentent la fumée et la sueur de coïts précédents. Elle prend le temps de me raconter que le soleil existe, dehors, et qu’il vaut vraiment la peine d’en profiter. Le temps de me faire comprendre comment une femme comme elle peut avoir envie d’un taré comme moi. Une envie dont je ne dois pas avoir peur, parce que je n’ai rien à prouver et qu’elle sait que je ne suis pas seul dans ma tête, et que mon ventre est en panne. Elle connaît tout ça, elle a vécu tout ça.
Justement, un mec comme moi, avec une femme comme elle, ben, il y a un truc qui les relie. Un truc qu’aucunCriticon ne pourra jamais détruire, parce qu’il ne le conçoit même pas. Un truc juste beau, un truc juste vrai, que ma détresse à moi et ses cicatrices à elle permettent de partager, maintenant.
Pour sceller le pacte, je lui offre un petit orgasme, du bout de la langue. Enfin, orgasme, c’est ce que je veux croire. Un peu de bonheur du ventre, disons. De son côté, elle m’offre un texte qu’elle a écrit une nuit d’insomnie, rien que pour moi. « Une nouvelle qu’on peut lire les yeux clos… » murmure-t-elle en passant ses mains dans ses cheveux de troublante manière. Troublante parce que j’aime ses cheveux, j’aime ce geste venant d’elle, et que j’apprécie ses seins que ce geste met en valeur.
Sur le moment, je ne comprends pas ce qu’elle veut dire. Mais quand elle pose ma main sur sa peau, l’illumination se ...