1. Le vieux qui lisait des histoires érotiques les yeux clos


    Datte: 30/05/2020, Catégories: h, fh, hplusag, couple, enceinte, bizarre, jardin, revede, Masturbation pénétratio, attache, délire, Humour Auteur: Olaf, Source: Revebebe

    La fille écarte ses fesses à deux mains, largement, soulignant d’un râle le plaisir qu’elle prend à s’offrir ainsi à son mec qui bande comme un taureau, le regard aimanté par la scène.
    
    Le mec, c’est moi, attaché sur une chaise, les mains derrière le dos, fou de désir pour la croupe incomparable qu’Azzaëlle agite à quelques centimètres de ma bite, sans me laisser l’effleurer.
    
    Ma queue palpite d’impatience, mes couilles sont plaquées contre mon bas-ventre, gonflées de sperme, prêtes à lâcher tout ce qui va inonder la raie et les orifices de ma belle. Mais plutôt que de se laisser prendre, la garce préfère agiter ses doigts sur son bouton cramoisi. Encore un matin où elle a décidé de m’exciter sans espoir de soulagement ! Je tente d’approcher mon dard de son cul, mais elle esquive l’assaut au dernier moment.
    
    Je connais trop bien la fille. Je ferais mieux de me laisser faire jusqu’à ce qu’elle se lasse de cette torture. Mais voilà, j’en suis incapable et elle en profite. Elle me rend dingue dès que j’aperçois le moindre morceau de sa peau, à plus forte raison sous une jupe fendue, ou entre ses seins dévoilés par un top un peu béant. Elle sait parfaitement qu’en s’offrant à fessier déployé, les poils de sa fente effleurant mon gland, elle ne me laisse aucune chance de revenir à la raison. Obnubilé par l’envie de fouiller cette merveille anatomique, mon cerveau du bas ne me laisse envisager d’autre alternative qu’une immédiate pénétration.
    
    Depuis la première fois où ...
    ... nous nous sommes allongés – en vérité pas allongés, puisqu’elle s’était arrangée pour que je la prenne debout contre la machine à café de son lieu de travail –, ce petit volcan n’a de cesse de me faire bander, comme ça, en passant, puis de faire semblant de s’en offusquer. Elle m’impose alors d’épuisantes punitions sexuelles avant de se jeter sur moi et de m’engloutir de la plus délirante manière. Son imagination sensuelle est sans limite. Son désir de baise est insatiable. Et, par-dessus tout, son penchant pour la débauche m’est non seulement exclusivement réservé, mais il est couplé à un amour inconditionnel. Azzaëlle est mon amour, ma femme, ma femelle, mon tout.
    
    Superbe Azzaëlle se décide enfin à me détacher avant de s’asseoir sur mes cuisses, ma bite coincée entre ses fesses pour mieux me sentir gicler lorsque les basculements de ses reins me l’imposeront.
    
    Le souvenir de son visage, de son sourire, de sa blondeur, de la tendresse dont elle me submergeait lorsqu’elle était enfin rassasiée, de toutes ces images d’elle gravées au plus profond de moi, me pousse à accélérer le rythme de ma masturbation. Comme elle l’avait provoqué ce matin-là, il y a près d’un an, un dernier coup de poignet suffit à me faire jouir. Une violente secousse me traverse, crispe mon ventre, me coupe le souffle pendant que le jus blanchâtre s’échappe de mes glandes surchauffées.
    
    Les yeux fermés, les sens enfiévrés, le cœur survolté, j’essaie de retrouver la sensation de la chaleur du corps de ...
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