1. Le miroir aux alouettes (4)


    Datte: 27/05/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Anthynéa, Source: Xstory

    ... caboche crevait la surface.
    
    Marc avec un sourire maintenant de tenait à flot, nageant dans la même direction que moi. Un autre bruit suivi d’une raie claire m’indiquait d’un coup qu’un autre allait nous rejoindre. Puis le « splatch » signifiant que le dernier larron pataugeait également se faisait entendre. Nous étions donc quatre dans le bassin. Je décidais de me laisser glisser au fond, histoire de m’écarter des trois hommes. Celui qui nageait doucettement au-dessus de moi, dont je voyais la tache blanche… c’était mon mari.
    
    Un autre trait filait sur ma gauche, un peu plus bronzé. Le copain de Marc était à ma hauteur, les quinquets largement ouverts, et me faisait un geste du pouce. Ce qui me frappait chez ce type qui tout proche ne tentait pas de venir plus près, c’était sa totale nudité. Puis Marc aussi venait m’encadrer sur mon aile gauche. Lui aussi arborait la tenue d’Ève. Et pour finir, Jean… aussi à poils que les deux sbires… le ton de la soirée était donné.
    
    Je me dirigeais alors vers le bord du bassin et me collait le dos contre celui-ci. Immédiatement Marc et son pote se rangeaient de part et d’autre de moi. Quant à Jean… il restait les bras en croix, immobile face à moi. Il venait lentement se plaquer contre mon corps. Je sentais son visage qui se plaçait devant le mien. Et dans ses yeux, je pouvais lire la joie de ce qui allait advenir. D’abord sa bouche qui cherchait la mienne, puis la rencontrait. Enfin ses mains qui empaumaient mes seins. ...
    ... Immédiatement j’avais cru qu’il venait simplement pour un baiser.
    
    Mais son dessein semblait tout autre. Ses mains remontant le long de mes épaules, alors qu’il me roulait une pelle, redescendaient, entrainant avec elles, mon soutien-gorge. Je n’avais pas esquissé le moindre mouvement pour l’empêcher de me le retirer. Enfin, les mêmes pattes s’attaquaient à ce slip microscopique que je portais. Il devait s’y reprendre à plusieurs reprises, s’immergeant complètement pour parvenir à ôter le dernier rempart de ma dignité. À l’instar de ma meute de loups affamés, j’étais désormais dévêtue.
    
    Marc se frottait sur mon flanc droit, et l’inconnu sur le gauche. Jean quant à lui avait fait passer mes gambettes sur ses épaules pour visiblement une autre race de baisers. Chacun de mes seins se trouvait faire l’objet d’une attention particulière de la part des bouches gourmandes de ces messieurs. Mon corps fut soulevé, pour être étendu sur le rebord de là la piscine. Deux mâles continuaient à me suçoter les fraises de mes nichons. Et mon mari lui lutinait sans vergogne mon entrejambe. C’était absolument divin.
    
    Ma tête que je balançais de droite à gauche, mes yeux largement ouverts, me montrait de chaque côté de mon visage une bite en érection. Je gloussais au sens littéral du mot. Les caresses terriblement ciblées, les mains qui me tripotaient, les bouches qui aspiraient, tout concourait à me porter vers les nues. Et fatalement mes propres menottes bien inutiles depuis un bon moment ...
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