Joueuse, ma belle-mère... - Histoires de Sexe

Joueuse, ma belle-mère...

... bouche, belle-maman ; je suis sûr que vous sucez mieux que votre fille !
— Non, mon Jérôme : ce n’est pas prévu aujourd’hui. Elle suce mal, ma fille ?
— Pas souvent, en tout cas, et elle n’avale jamais.
— Oh, la gourde ! C’est si bon, le sperme…
— Attention, ça vient !
— Crache ton foutre dans l’herbe, petit salaud !
— Je veux jouir sur ton visage, salope !
— Mais tu me prends pour qui ? On va arrêter notre jeu si tu ne respectes pas les règles !
— Pardon, belle-maman, pardon. Je jouis, je jouis !

Et une dose invraisemblable de foutre gicle, une goutte ou deux venant même souiller la chaussure d’Éliane !

— C’est bien, mon petit ; tu as été sage finalement. Je te sucerai dimanche prochain. Rhabille-toi, maintenant : Pierre ou Agnès pourraient venir.
— Merci, belle-maman, et encore désolé pour tout à l’heure ; c’était sous le coup de l’excitation.
— C’est déjà oublié ; viens me faire une bise !

—ooOoo—

Je n’eus pas à attendre le dimanche ! Mercredi en fin d’après-midi, je reçois un coup de téléphone d’Éliane qui me donne rendez-vous chez moi. Comme Agnès accompagne notre fille à la danse, nous avons deux bonnes heures devant nous.

Éliane est là ; elle porte une longue robe en jean, sans manches, entièrement boutonnée sur le devant, de haut en bas. Elle porte ses lunettes d’écaille rectangulaires qui lui donnent un air sévère et sexy.

— Tourne-toi, Jérôme, et donne tes mains.

Elle sort un foulard de soie et me ligote les poignets dans le ...

... dos.

— Je vais te sucer ; tu vois, je tiens mes promesses. Et tu vas jouir, au choix : sur mes seins, sur mon visage ou dans ma bouche ?
— J’ai trop envie de remplir votre gorge, belle-maman : je choisis la bouche !
— Parfait, dit-elle en se collant à moi et me mettant la main au paquet.

Elle se frotte les seins sur mon corps, et d’une main habile sort ma bite déjà dure. Pendant qu’elle me branle, elle défait les boutons du bas de sa robe et tire sur sa culotte blanche qui tombe à ses chevilles. Elle s’accroupit devant moi, les cuisses ouvertes au maximum. Ma bite est à hauteur de ses lèvres rouge sombre. Elle lèche ma queue sur toute sa longueur, s’amusant même à me gober les couilles.

— Elle est bonne, ta bite ; elle est grosse… Je mouille !

Toujours accroupie, elle glisse une main dans sa chatte et se pistonne avec violence, continuant à me branler et m’aspirer.

Sa main lâche ma bite pour passer dans son dos ; elle remonte sa robe et me dit :

— Je viens de me mettre un doigt dans le cul ; et avec trois doigts dans la chatte, je pourrais te sucer pendant des heures.
— J’ai envie de vous sodomiser, belle-maman !
— Tiens, goûte à mon cul plutôt, dit-elle en sortant le majeur de son anus et en le glissant dans ma bouche.

Elle me branle maintenant des deux mains, jouant avec ma bite, se donnant des gifles avec ma queue sur son beau visage de vieille salope. Elle sort maintenant se seins de sa robe et se caresse les seins avec ma queue. Je sens que je vais ...