Joueuse, ma belle-mère... - Histoires de Sexe

Joueuse, ma belle-mère...

... sort également un tube de vaseline. Elle se place à quatre pattes sur le lit, les fesses face à moi. Elle baisse sa culotte bleu-ciel à mi-cuisses et se met à enduire la pointe du gode d’un peu de vaseline. D’une main, elle écarte une fesse, et de l’autre elle place l’objet face au trou plissé et fermé. Elle me regarde et me sourit au moment où le gland perce son anus rose. Sa bouche est grande ouverte, son souffle est court ; sur son doux visage, perlent de petites gouttes de sueur pendant qu’elle se ramone de plus en plus fort le cul. Je commence à baisser mon pantalon, tellement ma bite compressée me fait mal.

— Non, Jérôme : tu dois rester sage !
— Mais c’est très dur, Éliane, j’ai mal !
— Approche-toi si tu veux ; mais pas le droit de me toucher, ni de te toucher.

Mister T a bien élargi le trou de cul de ma belle-mère. Il coulisse maintenant comme dans du beurre. Je sens son odeur de femelle, violente, sensuelle. Elle sort le gode et écarte au maximum son cul. Son trou est comme une bouche, il palpite. Et c’est à ce moment-là que je jouis dans mon pantalon.

— Terminé pour aujourd’hui, mon pauvre Jérôme.
— Je viens de jouir, belle-maman… Je peux utiliser votre salle de bain ?
— Bien sûr, mais reste sage !

Quand je reviens, elle est assise sur le lit, le visage impassible, les jambes serrées. Elle me sourit gentiment.

— Avec Agnès, on vous voit ce dimanche ?
— Pour rien au monde je ne raterais vos délicieux repas, Éliane !
— J’ai commandé un beau ...

... gigot.
— Et après le repas, vous avez prévu quoi, nous concernant ?
— Tu verras si tu es sage…

Le soir, j’essaie une nouvelle fois de caresser l’anus d’Agnès. Et pour une fois, elle ne se braque pas complètement ! À tel point que nous nous endormons, la main gauche sur son sein, et une phalange de mon pouce dans son cul…

—ooOoo—

Le repas dominical expédié (le gigot était succulent), je retrouve Éliane derrière la cabane de jardin.

— Pour aujourd’hui, j’ai prévu que tu te branles devant moi ! dit-elle en souriant.
— Mais je vous touche quand, belle-maman ?
— Un jour viendra, peut-être… Mais pour t’exciter, que veux-tu que je te montre ? Mes seins, ma chatte ou mon cul ?
— Votre chatte, s’il vous plaît.

Deux chaises de jardin sont installées face à face. Elle a une jupe longue en velours marron qu’elle vient de remonter jusqu’à mi-cuisses. J’ouvre la fermeture Éclair de mon pantalon et ma bite déjà dure surgit !

— Tu peux faire concurrence à Mister T, mon cher Jérôme !
— C’est vous qui me rendez si gros et si dur !

Elle a écarté les jambes et se caresse maintenant à travers la fine épaisseur de sa culotte de coton blanc. Elle écarte son slip et glisse un doigt entre ses lèvres humides.

— Tu aimerais y mettre ta langue, petit vicieux, hein ?
— Ma langue, ma bite, ma main ! Vous êtes une vraie salope, en fait.
— Toute ma vie, je me suis retenue… Tu ne vas pas me reprocher de m’amuser un peu ! Regarde comme je coule.
— J’aimerais jouir dans votre ...