1. Joueuse, ma belle-mère...


    Datte: 07/04/2018, Catégories: fplusag, alliance, fépilée, lunettes, jardin, fdomine, Masturbation facial, nopéné, fdanus, fsodo, jeu, attache, confession, Auteur: DuranDuran, Source: Revebebe

    Je m’appelle Jérôme, et à 32 ans, après huit ans de mariage avec la belle Agnès, je pensais sottement avoir fait le tour de la question concernant le sexe ! Je me trompais, et c’est sa mère, Éliane, qui n’allait pas tarder à me le démontrer.
    
    Éliane, la cinquantaine rayonnante, fine comme sa fille avec peut-être des seins plus volumineux, les cheveux roux à la garçonne, partageait avec moi la passion du jardinage. Il n’était pas rare, durant les beaux dimanches de printemps chez mes beaux-parents, de passer des heures à retourner la terre, planter, arroser… Mais ce dimanche après-midi, c’est le PC d’Éliane qui me préoccupe. Agnès est au salon avec sa mère et son père Pierre, et parle politique comme souvent. Cela fait une heure que je me noie dans leur disque dur, à la recherche des virus, et par hasard je tombe sur un répertoire contenant une sélection d’histoires et de vidéos pornographiques. Je vérifie, je suis bien sur la cession d’Éliane, et pas celle de son mari ; l’historique me montre qu’elle le consulte souvent tôt le matin. En effet, Pierre part travailler aux aurores et j’imagine Éliane, avant de rejoindre son boulot, passer une petite heure à se donner du plaisir. Et pour la première fois, je me prends à imaginer Éliane comme une femme, et pas uniquement comme la mère de ma compagne.
    
    Cette découverte m’a rendu bizarre ! La lecture rapide de quelques-uns des récits érotiques sélectionnés par ma belle-mère m’a passablement excité, et c’est un miracle si je ...
    ... réussis à désinstaller le logiciel malveillant qui perturbait le PC. Je me rends au salon et suggère, comme d’habitude, d’aller travailler au jardin. Éliane, comme d’habitude, se propose de me rejoindre après s’être changée. Il fait chaud. Je suis à quatre pattes dans la terre à arracher les mauvaises herbes quand Éliane s’approche et me tend une bouteille d’eau. Les chaudes histoires de son PC sont encore dans ma tête. Elle a gardé sa robe rouge et passé un tablier fleuri pour se protéger. Ses jolies ballerines ont fait place à ses petites bottes jaunes en caoutchouc, assorties à ses gants.
    
    — Qu’as-tu, Jérôme ? Tu me regardes bizarrement…
    — C’est rien, Éliane ; c’est rien !
    
    Dans un silence un peu gêné, je reprends mon travail. Du coin de l’œil, je la surveille. Elle est accroupie près d’un pied de tomates, tentant de le fixer à un tuteur. Dans ses mouvements, parfois ses genoux s’écartent un peu, et je peux voir subrepticement le clair de la chair de ses cuisses. Éliane est une très belle femme et je m’en rends compte seulement aujourd’hui…
    
    — Mais enfin, Jérôme, qu’as-tu ? Tu ne dis rien depuis tout à l’heure.
    — Désolé !
    — J’ai dit ou fait quelque chose pendant le repas ? Ou bien c’est Pierre ? Dis-moi, Jérôme ?
    — Je ne sais pas comment vous le dire, Éliane, mais en fouillant votre PC, je suis tombé sur votre répertoire, comment dire, un peu… spécial.
    
    Éliane devient immédiatement toute rouge, le dos de sa main gantée sur sa bouche.
    
    — Et, et… tu as ouvert des ...
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