Joueuse, ma belle-mère... - Histoires de Sexe

Joueuse, ma belle-mère...

... doux ; tu viens m’aider à les planter ?
— Bien sûr !
— Bon, on vous laisse un moment tous les deux. Pierre, montre à ta fille les prospectus de la résidence en Corse.

Le jardin. Il fait un temps superbe, bien qu’un peu frais.

— Tu as pensé à moi, Jérôme ?
— Je n’ai fait que cela, Éliane.
— Et tu t’es caressé en pensant à moi ? dit-elle en souriant.
— Non, mens-je.
— C’est bien ; tu as donc été sage ! Pour te récompenser, tu vas choisir la zone que je vais caresser devant toi. Aujourd’hui, tu as le choix entre mes seins, ma chatte, et… mon cul !

Je ne suis pas habitué à ce que ma belle-mère utilise un vocabulaire aussi cru. Et cela m’excite à la folie. Aussitôt, je réponds :

— Votre chatte !

Nous sommes derrière la cabane. Éliane a installé une chaise de jardin. Elle s’assoit, les jambes serrées. Elle écarte les genoux, lève un peu ses fesses et glisse sa culotte blanche jusqu’aux mollets. Sa chatte est parfaitement lisse, parfaitement jointe. Elle pose maintenant une jambe sur l’accoudoir de la chaise, et délicatement, de l’index, écarte ses grandes lèvres. Je me mets à genoux devant elle, à moins d’un mètre. Mon souffle est rauque. Elle caresse maintenant son clitoris, d’un rose un peu plus sombre. De l’autre main, elle glisse un doigt, puis deux, entre ses petites lèvres, et elle enfonce maintenant une phalange dans son vagin humide. Je bande à en avoir mal. Comme la semaine dernière, j’avance la main précautionneusement, et elle me tape gentiment sur ...

... les doigts.

— On ne touche pas ! Et voilà ; tu as rompu le charme : c’est fini !
— Mais Éliane, j’aimerais en voir plus ! dis-je en minaudant.
— La semaine prochaine, si tu es sage ! me sourit-elle.
— Promis ?
— Promis ! Allez, viens, on a encore du travail !

—ooOoo—

La semaine est encore plus longue et, n’y tenant plus, je prends la liberté d’aller le vendredi en fin d’après-midi chez mes beaux-parents, sachant que toutes les semaines mon beau père est à son club d’investisseurs.

Éliane est surprise, mais elle sourit.

— Quelle agréable surprise ! J’imagine que tu viens faire une petite visite de courtoisie ?
— Juste vous dire que j’ai été très sage cette semaine.
— Ah, si tu as été sage, tu as bien droit à ta petite récompense, alors.
— Merci, belle-maman !
— Aujourd’hui, on va aller dans ma chambre et je vais te présenter Mister T.

Elle me prend par la main ; elle sent si bon… Elle porte une longue robe d’été couleur lavande et des sandales de corde à la spartiate. Elle ouvre un tiroir, sort un sachet de soie et en tire un gode couleur d’ébène d’une longueur et d’un diamètre redoutables.

— Jérôme, je vais jouer avec Mister T et tu vas choisir l’endroit : ma bouche, ma chatte ou mon cul, dit-elle en me fixant étrangement.
— Le cul, sans hésiter, belle-maman ! C’est le seul orifice que je n’ai pas encore vu.
— Eh bien d’accord, petit curieux ; mais cela nécessite une petite préparation. Assieds-toi sur ce fauteuil, là.

Du sachet en soie, elle ...