1. Joueuse, ma belle-mère...


    Datte: 07/04/2018, Catégories: fplusag, alliance, fépilée, lunettes, jardin, fdomine, Masturbation facial, nopéné, fdanus, fsodo, jeu, attache, confession, Auteur: DuranDuran, Source: Revebebe

    ... fichiers ? bafouille-t-elle.
    — Quelques-uns, juste pour voir.
    — Tu me promets de ne rien dire à Pierre et à Agnès ?
    — Mais bien sûr, Éliane ; pour qui me prenez-vous ?
    — Comment t’expliquer… Tu sais, avec Pierre, ce n’est plus comme avant : la routine, l’âge ; bref ! Tu verras quand tu auras mon âge ! Je sais que ce n’est pas bien, mais je ne fais de mal à personne comme cela.
    — Je comprends, je comprends…
    — Promis : tu ne dis rien. C’est notre petit secret !
    — Promis, belle-maman ; je serai une tombe.
    — Oh merci, Jérôme ; je ne sais comment te remercier…
    
    On a tous au fond de nous une dualité Ange / Démon et, est-ce le soleil, le bout de cuisse entraperçu, la chaleur des récits, le regard troublé d’Éliane ; mais, comme provenant d’un autre cerveau, je m’entendis dire :
    
    — Éliane, avec tout le respect que je vous dois, j’aimerais voir votre corps.
    
    De rouge de tout à l’heure, le visage d’Éliane devient pivoine !
    
    — Mais enfin, Jérôme, tu n’y penses pas !
    — Oh que si, j’y pense… Mais bon, je comprends, c’est un peu gênant. Si vous ne voulez pas ce n’est pas grave.
    
    Éliane reste un long moment songeuse, puis sourit.
    
    — Je te propose un marché : je te montre une partie de corps ; tu choisis, et nous sommes quittes : tu ne diras rien.
    — OK ! Parfait ! J’ai droit à quoi ?
    — Par exemple, ma poitrine, mon pubis ou mes fesses ! chuchote-t-elle doucement, d’un air timide et mutin.
    — Je prends les seins ! réponds-je immédiatement.
    — Viens derrière la cabane de ...
    ... jardin.
    
    Je la suis maintenant entre la haie et la cabane, sans rien dire, la boule au ventre, et le bas-ventre en feu ! Elle se met face à moi, déboutonne son tablier, me fixant droit dans les yeux, déboutonne le haut de sa robe, lentement. Apparaît un soutien-gorge rose clair. Elle ne dit rien mais j’entends sa respiration s’accélérer et je vois sa poitrine blanche se soulever. Elle reste un long moment ainsi. Je lui fais un signe de la main lui signifiant que j’ai droit à plus, et elle décide de sortir ses deux seins lourds des bonnets. Ses tétons sont tout durs ; j’avance la main précautionneusement, mais elle me tape gentiment sur les doigts.
    
    — On ne touche pas !
    — Mais Éliane, j’aimerai en voir plus…
    — La semaine prochaine, si tu es sage.
    — Promis ?
    — Promis. Allez, viens, on a encore du travail !
    
    Et nous reprenons notre jardinage. Je la surprends plusieurs fois à écarter légèrement les jambes, distinguant même une fois le coton rose de sa culotte.
    
    —ooOoo—
    
    La semaine se passe lentement ; mon esprit est obnubilé par ma belle-mère. Quand la tension est trop forte, je saute le soir sur Agnès, qui ne comprend pas mon brutal désir. Je lui explique que c’est sûrement le printemps… Comme d’habitude, elle refuse la sodomie.
    
    —ooOoo—
    
    Enfin dimanche ! Éliane est très belle : petite jupe noire portefeuille, chemisier blanc, discrètement maquillée. Le repas est trop long à mon goût. Son visage n’exprime rien.
    
    — Jérôme, j’ai acheté hier des pieds de piments ...
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