Septembre, ses couleurs douces et ses surprises
Datte: 25/05/2020,
Catégories:
f,
ff,
fépilée,
jouet,
init,
Auteur: Charlotte_D, Source: Revebebe
... excitée ! Je la laissai tomber sur le carrelage blanc. Je passai ma main entre mes cuisses et la confirmation était bien là… Mon clitoris attendait une récompense, mon vagin certainement aussi… Ça tombait bien, j’avais oublié de ranger monsieur Rose. Je m’assis sur le rebord de la baignoire, et sans l’ombre d’un préliminaire habituel, m’enfonçai le gode. Le gémissement était à la hauteur de l’excitation. Je n’ai pas cherché un fantasme quelconque, ou à temporiser quoi que ce soit. Il fallait que je me soulage, il fallait que je jouisse. Je voyais ma culotte par terre et repensai immédiatement aux lèvres d’Isabelle sur les miennes.
Je me mordis la lèvre inférieure tout en agitant monsieur Rose de haut en bas. De l’autre main, il ne s’agissait plus de caresses mais d’agitation frénétique sur mon bouton… Pas de délicatesse, pas de douceur : je voulais jouir, jouir, jouir… Et la jouissance est arrivée, aussi brutale et violente qu’ont été mes caresses sur mon clitoris. J’étais pliée en deux, le gode au plus profond de moi, et ma main droite certainement aussi trempée que ma culotte au sol. La respiration coupée, j’ai lâché mon bouton d’or, me faisant tressauter. J’ai repris le rythme des inspirations et me suis sentie sourire en pensant aux trésors délivrés par les baisers d’Isabelle. J’ai délicatement extrait monsieur Rose de mon sexe. Toujours assise, je me suis entendue dire à moi-même « Waouh ! Quelle soirée ! »
J’étais heureuse, en extase. Je replantai monsieur Rose ...
... sur le coin de la baignoire pour le nettoyer "après" et j’entamai une douche de délassement pour la majeure partie du corps, et de nettoyage pour une partie plus intime. Je venais juste de rincer le gel douche lorsque l’interphone se mit à hurler.
Des gamins voulant jouer n’auraient pas fait mieux… sauf qu’il était plus de 23 heures et que la plupart des blagueurs sont couchés à cette heure-là. Inquiète, je pris un peignoir, séchai à la va-vite mes pieds, et courus jusqu’à l’interphone.
— Oui ? C’est pour quoi ?
— Vite ! Vite, c’est moi ! Il est devant chez moi !
La voix était paniquée, mais c’était bien celle d’Isabelle. Je me suis retrouvée paniquée moi aussi. J’arrivai à appuyer sur le bouton au bout de la troisième reprise tant je voulais faire vite. Le son de la porte du bas qui se referme arrivait par l’interphone, ainsi que les pas d’Isabelle. J’ouvris la porte en attendant qu’elle arrive ; mon cœur tapait à tout rompre ! La lumière de l’ascenseur s’était allumée. Puis le moteur. Elle arrivait ! Mais dans quel état ? La porte de l’ascenseur s’était ouverte et Isabelle en sortit comme un missile, les yeux terrorisés, les bras tendus. Elle se jeta contre moi et je refermai la porte immédiatement après son entrée. Elle m’agrippait, me serrait contre elle.
— Il était en bas de chez moi… Il m’attendait, je suis sûre !
— Cro-Magnon ? Et qu’est-ce qu’il voulait ?
J’étais en colère, je voulais tellement envoyer ce monstre en enfer !
— Rien, je n’en sais rien ...