1. Histoires de cocus (extra)ordinaires (7)


    Datte: 07/04/2018, Catégories: Gay Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    Mon mari avait refermé la porte derrière lui. Désormais, les deux hommes étaient face à face, nus. Leurs sexes, rouges et humides pendaient, gros encore. Les poils perlaient de gouttelettes de sueur, sur le pubis, sur les jambes, sur le torse et même sous les bras, car le sergent en souleva un et je le vis nettement.
    
    J’attendis qu’ils viennent vers moi et me découvrent là. J’étais prête à éclater de colère, à vider ma rage contenue et mon humiliation.
    
    Au lieu de cela, mon mari approcha de son subordonné, se colla à lui et lui lécha l’aisselle. Puis ils s’enlacèrent et s’embrassèrent à nouveau fougueusement, laissant un espace pour glisser leur main entre leurs jambes.
    
    — Tes couilles sont encore lourdes, dit le sergent en riant.
    
    Je remarquai le tutoiement.
    
    — Pas autant que les tiennes.
    
    — Je t’en ai gardé pour ce soir.
    
    — Et moi je vais te doser le cul à fond.
    
    — A tes ordres mon capitaine.
    
    Puis ils s’effondrèrent sur le lit et continuèrent leurs étreintes, se palochant, roulant l’un sur l’autre avec autant de chaleur que s’ils avaient été encore en érection. Ils se caressaient le sexe mou, se les pompaient, se mangeaient en susurrant des mots que je n’entendais pas. C’était clair, il y avait plus que du sexe entre ces deux-là.
    
    — Tu veux pas boire un peu ?
    
    — Tu veux dire ton sperme ? répondit le sergent en riant.
    
    — Hmmm... ouiiiiii quand j’aurais rechargé mes cartouches.
    
    Ils se levèrent en rigolant et toujours nus, sortirent vers la ...
    ... cuisine.
    
    Je restai là, interdite, pendant quelques minutes puis sortis de ma cachette. Fort heureusement, ils avaient fermé la porte sur eux, pas complètement, mais assez pour que je puisse m’éclipser sans être vue ni entendue.
    
    Les jours suivants furent un enfer. Je ne savais plus qui j’étais, ce que je faisais, je n’avais plus goût à rien. J’avais un désir de vengeance, j’échafaudais des scénarios, mais rien de cohérent.
    
    La première fois qu’il revint, je ne sus quoi lui dire. Il remarqua ma froideur, mais je me dérobai lâchement et l’expliquai par de la fatigue.
    
    Cela ne l’empêcha pas de me faire l’amour. Mais revoir sa queue tendue rappela en moi le souvenir mauvais de ce que j’avais vu. Il me prit par-derrière.
    
    — Tu la sens ma queue... elle t’a manqué ma queue ?
    
    Je ne répondis rien et n’éprouvais aucun plaisir alors que d’habitude, il me faisait grimper aux rideaux.
    
    — Eh ben quoi, tu dis rien ? Tu la sens pas ma grosse bite ? T’es devenue frigide ?
    
    Mais je ne sus quoi lui répondre.
    
    — Tiens, prends ma queue dans ta bouche, dit-il alors assez énervé... et pompe tout.
    
    Mais comme je refusais d’obéir et de maintenir sa bite entre mes dents jusqu’à son éjaculation, il éjacula sur mes seins.
    
    Puis il se coucha, se retourna et s’endormit en un rien de temps. Je pleurai abondamment.
    
    J’hésitais à aller voir la femme du sergent. Mais avais-je le droit de lui faire mal en lui dévoilant tout ?
    
    Finalement, j’optai pour une autre solution. Je pris rendez-vous ...
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