Evolutions (15) - Histoires de Sexe

Evolutions (15)

... qui arrive à hauteur de ses fesses. Ensuite, je la soulève pour qu’elle puisse s’asseoir dessus, avant de me mettre à genoux entre ses jambes, que j’ai écartées avec douceur. Cette fois, ses petites lèvres chiffonnées sont restées soudées l’une à l’autre, cependant je ne m’en occupe pas pour l’instant, puisque je me concentre sur leurs grandes sœurs. Je me mets à lécher ces dernières en alternance, en donnant de grands coups de langue gourmands, et c’est seulement lorsqu’elles commencent à produire de la mouille, et que j’entends la respiration de mon amante devenir de plus en plus profonde, que je m’intéresse à ses nymphes.

Je passe lentement le bout de ma langue, sur la fente irrégulière et encore fermée qu’elles forment, jusqu’à ce qu’elles se décollent l’une de l’autre, en m’enfonçant au fur et à mesure que ça se produit. Je néglige volontairement son clitoris, qui pourtant ne s’est pas privé de venir montrer le petit bout de son nez rose-vif et curieux, parce que je ne veux pas la mener à l’orgasme de cette manière. Mais ce manque d’attention de ma part n’empêche pas le souffle de mon amante de se transformer peu à peu en halètements, et lorsque l’entrée de son vagin est ouverte, je sens qu’elle est prête. C’est pourquoi je me redresse, et c’est mon petit bout de femme qui vient décalotter mon gland, étant donné que mon sexe n’a pas manqué de se dresser.

Je m’avance un peu, pour poser le bout de ma queue contre sa vulve offerte, puis je place mes mains sous ses ...

... fesses, tandis qu’elle met sans hésiter les siennes sur ma nuque, tout en plaçant ses cuisses de chaque côté de mes hanches. Lorsque je la soulève, elle resserre son étreinte pour m’enlacer, et alors que son corps vient se coller au mien, ma queue s’enfonce en elle. Sa lourde poitrine se retrouve logiquement écrasée contre mon torse, à présent, ses bras sont sur mes épaules et ses jambes sont nouées autour de ma taille.

Alice commence à soulever son corps en s’aidant de ses quatre membres, en laissant mon gland en elle, avant de redescendre pour revenir s’empaler. Bien qu’elle ne soit pas bien lourde, je décide d’aller poser à mon tour mes fesses sur le meuble à chaussures. Par conséquent, je pivote lentement sur moi-même, ce qui nous fait faire un demi-tour à tous les deux, et lorsque je m’appuie sur le placard, de devoir supporter plus de cent trente kilos cumulés, ce dernier émet un craquement de protestation. Cependant, il résiste et je ne suis pas inquiet à son sujet, étant donné que je lui ai déjà fait subir le même traitement par le passé, et qu’il est toujours là pour se plaindre.

Alice continue à aller et venir le long de ma queue, mais elle conserve un rythme lent, probablement dans le but de prolonger notre étreinte comme si ce devait être la dernière. Je n’y vois aucun inconvénient, et étant donné que je suis à présent passif, je peux me laisser aller aux sensations de nos corps se frottant l’un contre l’autre.

Cependant, notre tendre accouplement ne dure ...