Douce rencontre avec Amélie (2)
Datte: 22/05/2020,
Catégories:
fh,
douche,
fsodo,
Auteur: Alban, Source: Revebebe
... maintenir, puis Amélie fit glisser ma bite entre ses jambes, et commença à frotter mon gland dans son entrejambe. Comme nous étions lubrifiés au maximum, mon sexe entra comme par inadvertance dans le sien et sous le coup de cette entrée en matière presque involontaire, je sentis le taux d’adrénaline grimper d’un cran.
Malgré l’inconfort de cette position debout, le plaisir était incroyablement élevé. Sentir ma queue entrer à l’intérieur de son corps, sonder sa chair intérieure, connaître son intimité me procurait un sentiment de puissance inouï.
Amélie fermait les yeux comme pour ne plus penser qu’à cette divine pénétration. Sa tête penchait légèrement en arrière et de sa bouche ouverte émanait un petit gémissement muet qui révélait une emprise totale du plaisir sur son être.
Puis, elle redressa la tête et rouvrit les yeux.
LA FIN
Pendant une ou deux secondes, elle figea son regard sur moi, comme pour me prévenir que quelque chose d’important allait arriver.
Sans que nous nous quittâmes des yeux, elle retira ma bite de son vagin et la fit glisser vers son anus. L’enchaînement était délicat, elle voulait probablement ne pas perdre le fil de ce moment privilégié qu’elle m’offrait. Je fis en sorte de me baisser un peu pour que ma bite puisse se positionner face à son orifice arrière et tenter de le pénétrer.
La main d’Amélie maintenait mon gland juste devant l’entrée de son trou intime tandis que je donnais de très légers coups de reins. Une sorte de statu ...
... quo s’installa pendant l’espace de quelques secondes lorsqu’un seuil parut être franchi. Elle lâcha un petit « aïe » sous le coup de la douleur qui me fit stopper mon mouvement.
Puis, Amélie me fit comprendre que je pouvais continuer et je repris très délicatement ma progression. Une tension abominable régnait en moi car à ce stade, je devais faire extrêmement attention de ne pas la blesser alors que mon excitation atteignait son paroxysme. Je sentis que mon gland commençait à se frayer un chemin et que la résistance commençait très lentement à s’amoindrir. Son trou était vraiment serré, si elle m’avait dit auparavant aimer la sodomie, alors elle ne devait pas la pratiquer très souvent.
Ça ne devait pas forcément être très drôle pour elle, car elle m’enlaça de ses bras et posa sa tête sur mon épaule. Je la sentais un peu crispée, attendant que son anus se dilate suffisamment pour qu’elle puisse commencer à prendre du plaisir. Mon sexe avançait presque millimètre par millimètre et au bout d’un moment, je sentis que j’étais allé assez loin en elle pour commencer à faire des va-et-vient.
Je fis quelques mouvements avec mon bassin, sentant petit à petit que je disposais d’une marge de plus en plus importante. Au fur et à mesure que ma bite sollicitait les parois de son anus, Amélie parut se détendre complètement et ressentir une intense excitation.
Ce petit manège ne dura que quelques secondes pendant lesquelles un immense plaisir nous souda l’un à l’autre. Lorsque je ...